TOUR AUTO 2023, UN SPECTACLE AUTOMOBILE TOUJOURS TRES ATTENDU.

TOUR AUTO 2023, UN SPECTACLE AUTOMOBILE TOUJOURS TRES ATTENDU.

La 32ème édition du Tour Auto est lancée avec un itinéraire reliant Paris à Cannes. Durant cinq jours, les concurrents se mesurent sur quatre circuits (Dijon-Prenois, Bresse, Charade, Paul Ricard) et dix épreuves

 

spéciales. Un programme qui mène la caravane du Tour Auto à Beaune, Clermont-Ferrand, Valence et au Castellet avant de terminer sa route sur la « French Riviera » à Cannes. Les 236 équipages de 16 nationalités arrivent des quatre coins de du monde.

 

Comme toujours, des voitures sont mises à l’honneur et ils pourront, cette année, (re)découvrir des marques anglaises disparues comme AC Ace Bristol ou Zephyr, Austin Healey 100/4 M, Frazer Nash Le Mans Coupé, Healey Silverstone, Jowett Jupiter, MGA Twincam, Morris Cooper S, Sunbeam Alpine ou encore Triumph TR2 et

TR3. Parmi les personnalités on peut citer Henri Pescarolo et son co-équipier Michel Périn, Thierry Boutsen, vainqueur du Tour Auto 2022, les ouvreurs Ari Vatanen et Eric Hélary, et enfin, Jean-Pierre Lajournade, double vainqueur en 2015 et 2016 du Tour Auto, qui tire sa dernière révérence. Cette année c’est le château de Vaux le

 

Vicomte, perle de l’architecture du XVIIème, qui donnera le ton de ce 32ème Tour Auto. Puis rendez-vous sur la Côte d’Azur, après 2000 kilomètres de routes pittoresques jalonnées d’épreuves chronométrées sur circuits et routes fermées.

Après les routes pittoresques au cœur du Parc Naturel Régional des Forêts, les concurrents se présentent à la première épreuve sur route au bord du Lac de la Vingeanne. Ce sont les plus avisés qui ont avancé leurs pions…

tels Nigel Armstrong et Mark Freeman dans une Shelby Cobra 289 (#206) de 1965 qui s’imposent lors de cette première épreuve spéciale. Le circuit de Dijon Prenois, une piste bien connue de nombreux pilotes, tels qu’Alain Prost, René Arnoux, offre à Thierry Boutsen et son co-pilote Hervé Ordioni l’occasion de se mettre en avant en se plaçant en première position de la catégorie Compétition au volant de la Shelby Cobra 289 (#201). 

La 2ème journée de compétition démarre par une mise en jambes sur le circuit de Bresse, un rendez-vous classique du Tour Auto. Cette 2ème épreuve circuit confirme la bonne forme de  Thierry Boutsen et Hervé Ordioni qui placent leur Shelby Cobra 289 sur la plus haute marche.

II reste encore deux spéciales chronométrées à parcourir avant de rejoindre la ville étape de Clermont-Ferrand. La Côte Mâconnaise,  plutôt vallonée dans les vignobles du Mâconnais donne l’avantage à l’équipage français

Bertrand et Anne Penlae qui décrochent  le meilleur temps avec leur Porsche 911 2,0L de 1965. Puis direction la Côte Roannaise à travers les monts du Beaujolais et du Lyonnais, et  ce sont le pilote aixois Mr John of B et son co-pilote Sibel dans la Ferrari 512M qui décrochent le meilleur temps. Un monstre sacré de l’Endurance qui vient clairement de tenir tête aux bêtes de rallye durant l’épreuve.

Au menu de cette troisième journée, un circuit en montagne, deux épreuves spéciales sur route et une météo capricieuse qui s’est invitée dans la compétition, en perturbant significativement le déroulé. La journée démarre  sur le circuit de Charade, les spectateurs assistent à une belle bataille entre la Ford GT 40 #216 d’Emile

Breittmayer et la Shelby Cobra 289 #201 de Thierry Boutsen. C’est finalement l’équipage Breittmayer/Thomas #216 qui remporte la victoire dans la catégorie compétition. Malheureusement c’est l’abandon pour l’équipage de la Ferrari 512M,  victime d’un accrochage avec un concurrent sur le circuit de Charade, la magnifique Ferrari

est très endommagée et doit abandonner. L’itinéraire conduit les équipages depuis les monts d’Auvergne vers ceux d’Ardèche au départ de  l’EC7 ‘Le Pays de Monfaucon. Cette longue spéciale de plus de 20 km provoque un changement en tête du classement, Thierry Boutsen, incontestable leader du classement depuis le départ, est sorti de la route. Roue avant-droite arrachée, la Shelby Cobra 289 #201 n’ira pas plus loin. C’est Sébastien Berchon qui a hérité du leadership avec sa Jaguar E-Type 3.8 de 1963 #203.

Le vendredi est le jour traditionnel de l’inversion des plateaux. Les derniers arrivés de la veille, la Régularité partent les premiers. Découverte du Parc Naturel régional des Baronnies, puis c’est au tour du Géant de Provence, le Mont Ventoux d’offrir ses somptueux paysages, dont le col des Tempêtes, un chemin annonçant le circuit Paul

Ricard, la fin de cette quatrième étape. L’épreuve sur route de SAINT NAZAIRE LE DESERT est un terrain de jeu privilégié pour les rallyes internationaux depuis de nombreuses années. Depuis l’abandon de Thierry Boutsen (Shelby Cobra 289 #201), Sébastien Berchon et Sébastien Bordier (Jaguar Type E 3.8 #203) commencent à envisager  la victoire, pendant qu’Emile Breittmayer et Alexis Thomas (Ford GT40 #216) engrangent les victoires sur circuit ou en spéciale. Le Mont Ventoux est un compagnon de l’automobile depuis son origine. Sans surprise, pour la seconde fois consécutive, l’équipage Breittmayer/Thomas a décroché le meilleur temps de la spéciale.

Derniers efforts de la journée pour exceptionnellement dompter son grand tracé de 5,8 km . L’équipage Breittmayer/Thomas et leur Ford GT40 #216 termine cette première journée sur les chapeaux de roue en remportant la victoire dans la catégorie Compétition. La lutte pour les autres places du podium final promet d’être

explosive jusqu’au bout, opposant Fred Wakeman et Patrick Blakeney-Edwards (Shelby Cobra 289 #211) d’une part, Patrick et Alexandre Bonnardel (Jaguar Type E 3.8 #210) de l’autre.

Même suspense sur le front de la Régularité, avec Hamoniau-Dupard (Ferrari 250 GT Berlinetta Lusso #76), Martens-Pyck (Morris Mini Cooper S #35) et Poels-Prat (Mercedes 300 SL Coupé #65) réunis en moins de 10 secondes au sommet du classement général provisoire. 

Ultime étape, aujourd’hui, ce sont donc trois épreuves spéciales sur route qui vont départager ceux qui ont encore l’espoir de monter sur le podium. C’est l’équipage Breittmayer/Thomas #216 qui fait le spectacle en remportant l’E.C. 12 très  exigeant. L’E.C. 13 sillonne le haut Verdon, une spéciale joueuse à prendre avec prudence. L’équipage #178 Fabri/Furiani au volant d’une Alfa Romeo Giulia Sprint GTA de 1965 décroche le meilleur temps. La Der des Ders, c’est un tracé à vous donner le tournis. Comme ces derniers jours c’est l’équipage Emile Breittmayer et Alexis Thomas qui termine le rallye en beauté avec le meilleur temps de cette troisième spéciale de la journée à bord de la Ford GT40 #216. 

Puis c’est enfin le bord de mer pour rejoindre Cannes et célébrer l’arrivée du Tour Auto 2023  sur la célèbre Croisette.

Les grands vainqueurs du Tour Auto 2023 sont …

Catégorie Compétition :

Sébastien Berchon et Sébastien Bordier dans la Jaguar E-Type 3.8 de 1963 (#203) (voitures de pré-66) sont les grands vainqueurs de la catégorie Compétition du groupe VHC.

La première place en Groupe G (véhicules de 1966 à 1971) revient à l’équipage #269 Claudio Roddaro et Michel Speyer avec leur Porsche 911 2,3L ST de 1970.

Dans la catégorie H-I (véhicules de 1971 à 1981), nous retrouvons Olivier Pernaut et Gerry Blyenberg, équipage #253 dans une sublime Ford Capri RS 2600 de 1975.

Catégorie Régularité :

Sur la première marche du podium de la catégorie Régularité du groupe VHC, nous retrouvons Eric Hamoniau et Jérôme Dupart dans la Ferrari 250 GT Berlinetta Lusso de 1963 (#76) .

L’équipage a été très régulier tout au long du rallye, jonglant entre la 5ème et la 3ème place dans le classement général par étape, leur assiduité les a propulsés à la première place. Il devance l’équipage 35 MARTENS Jean-Jacques / PYCK Aswin Morris Mini Cooper S 1275 (#35) et Mercedes-Benz 300 SL Coupe (# 65) de POELS Dominique / PRAT Stéphane.

PHOTOS MICHEL MORILLON

25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique : un éternel recommencement !!!

25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique : un éternel recommencement !!!

Le Comité d’Organisation de cette 25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique s’est attaché à rétablir cinq authentiques parcours de concentration, depuis Bad Hombourg, Oslo, Londres, Turin et Reims. Cinq itinéraires… pour une destination commune : Monte-Carlo. L’itinéraire concocté pour le rallye est lui toujours

composé d’épreuves de renom, toutes généralement empruntées par son ainé du Championnat du Monde WRC. Et nombreux seront encore les concurrents, sur ces routes mythiques comprenant 16 Spéciales de Régularité (SR), à vouloir se bagarrer pour décrocher un trophée détenu par Philippe et Antoine CORNET DE WAYS

RUART, vainqueurs en 2022 sur Porsche 911 de 1965.

La première spéciale de régularité de la journée, dans la Drôme, entre Saint-Nazaire-le-Désert et La-Motte-Chalancon (SR12, 19,97 km) était assez sinueuse, dans une version inédite par rapport à la spéciale habituelle du Rallye Monte-Carlo Historique. C’était donc une bonne mise en appétit, surtout pour Pascal Perroud et Guillaume Allais qui s’étaient déjà imposés dimanche après-midi dans la SR10, à bord de leur Porsche 911 Turbo de 1969. Ils ont eu l’honneur et le privilège de devancer les vainqueurs de l’an dernier, les Belges Philippe et Antoine

Cornet de Ways

Ruart, dans une autre Porsche à peine plus âgée (1965). Ceux-ci ont fini la SR12 à égalité avec les leaders du classement général lundi soir, le duo suisse Claudio Enz-Cristina Seeberger (Lancia Fulvia Coupé 1.3S), et avec la Fiat 128 Coupé de Yannick Villar et Vincent Bourdil. Dans la descente finale, il y avait quelques plaques de verglas et de la neige, alors certains avaient décidé de partir avec des pneus à clous, notamment Bruno Saby (Ford Capri), vainqueur 1988 en WRC et 4e du classement général en partant ce matin de Valence.

Le résultat de la SR13 entre Montauban-sur-l’Ouvèze et Laborel, une spéciale longue de 18,92 km dans un joli paysage, en montant et en descendant le fameux Col de Perty (un peu de neige dans la descente), n’a pas chamboulé le classement général du 25e Rallye Monte-Carlo Historique. les vainqueurs espagnols, l’équipage

d

e la BMW 323i de 1981 engagée par Luis Climent Asensio et Victor Buades Castillo,  ont notamment été plus efficaces, dans cette SR13, que les Français Etienne Goldet et Frédéric Neymon, dans une Alpine A310 V6 de 1977, et que deux équipages norvégiens embarqués dans une Lancia Fulvia HF et une Porsche 911 SC.

La dernière nuit du 25e Rallye Monte-Carlo Historique a débuté par un monument, la SR15 entre le Col de Braus et Lantosque (34,35 km). Il y avait bien quelques traces de verglas, dans le Col de Castillon, mais pas assez pour gêner vraiment les 227 équipages rescapés de cette édition 2023 formidable à tous points de vue. Une Lancia Fulvia visait la victoire au classement général, mais c’est un autre modèle de la marque mythique qui s’est mis en valeur dans cette SR15, la Beta Coupé 1800, de 1975, engagée par les Italiens Maurizio Aiolfi et Carlo Merenda. Elle a fait mieux que la BMW 323i des Espagnols Luis Climent Asensio et Victor Buades Castillo, encore une fois aux avant-postes, avec à la 3e place les Tchèques Jan Schmied et Pavel Kacerovsky, embarqués dans une Skoda 130 RS de 1976.

L

a dernière épreuve spéciale de régularité (SR16, 22,33 km), comme un dessert, comme une récompense après une semaine d’efforts et de vigilance au volant, a permis aux concurrents du 25e Rallye Monte-Carlo Historique de toucher le Graal des rallymen du monde entier, de rouler pour le plaisir dans ce fameux Col de Turini qui déchaîne les passions depuis si longtemps. Il faisait froid, mais encore une fois les commissaires de l’Automobile Club de Monaco étaient là, fidèles au poste, pour veiller à la sécurité des concurrents jusqu’à tard dans la nuit.

Sur les deux Ford classées dans le Top 15, sur plus de 270 engagés et 232 arrivés, il y a la Ford Capri 2300 S que Bruno Saby a pilotée pendant une semaine entière. Vainqueur en 1988 dans une Lancia Delta HF, le très populaire Bruno, pas avare d’anecdotes, a été accueilli en héros partout où ce rallye s’est arrêté, et c’était mérité. Il a aussi terminé 4e du classement général. Un autre ancien vainqueur, Jean-Claude Andruet, a lui aussi ravivé les souvenirs des nostalgiques au volant d’une superbe Berlinette Alpine-Renault, la même ou presque que celle qu’il avait emmené à la victoire en 1973, il y a tout juste cinquante ans.

C’est la Lancia Fulvia N.242 des Suisses Claudio Enz et Cristina Seeberger qui a rejoint le port de Monaco pour pointer au dernier contrôle horaire et sceller sa victoire au classement général. Une victoire amplement méritée.

PHOTOS MICHEL MORILLON

34 ème e-TROPHEE ANDROS  A LANS-EN-VERCORS : PREMIERE VICTOIRE POUR EHRLACHER, AURELIEN PANIS CHAMPION !!

34 ème e-TROPHEE ANDROS A LANS-EN-VERCORS : PREMIERE VICTOIRE POUR EHRLACHER, AURELIEN PANIS CHAMPION !!

EPAPE 4/5 COURSE 8 :

CATEGORIE ELITE PRO

De retour sur le circuit de Lans-en-Vercors à l’occasion de la 350ème course du e-Trophée Andros depuis sa création, les pilotes nous ont, à nouveau, offert un incroyable spectacle. Conditions idéales : le circuit a revêtu son manteau de neige quelques jours avant l’arrivée des concurrents et les températures négatives ont permis une piste bien glacée.

Somptueux, malgré 60 kgs de lest emportés après la victoire à Isola 2000, Dorian Boccolacci (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) n’a laissé aucune chance à ses adversaires lors des manches qualificatives. La concurrence était pourtant bien présente avec Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing), Nathanael Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing) et Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing) avec des écarts de quelques dixièmes seulement.

Départ musclé lors de la finale du jour, Aurélien Panis prend la tête sur Dorian Boccolacci. Suivi de Nathanael Berthon et Yann Ehrlacher, il décroche la victoire avec le record du tour en prime. 

A l’issue des manches qualificatives et de la finale, c’est Aurélien Panis qui remporte la course du jour, 4ème victoire de la saison. Dorian Boccolacci prend la 2ème place et Nathanael Berthon monte sur la 3ème marche du podium. 

CATEGORIE ELITE

Sylvain Pussier, un retour en force !

 

Encore une fois, les pilotes de la catégorie Elite nous prouvent que le niveau est plus que relevé. Pour cette première course sur le circuit de Lans-en-Vercors, les manches qualificatives reviennent au team Sylvain Pussier Compétition.Clémentine Lhoste (#69 – Peugeot e208 Loxam) remporte la 1ère manche qualificative et Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) s’empare de la 2ème. Un peu plus rapide dans ses 3 tours, c’est Sylvain Pussier qui s’élancera en pole de la finale.

En finale, Sylvain prend le large, suivi de sa coéquipière Clémentine Lhoste. La bataille a fait rage au sein du duo de la F1 chez Canal +, Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing) et Julien Febreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing). Sylvain Pussier remporte sa 2ème victoire de la saison. Clémentine Lhoste monte sur la 2ème marche du podium et Margot Laffite vient compléter le podium. Julien Febreau conserve tout de même la tête du classement général avec 2 points d’avance Sylvain Pussier. 

 

Etape 4/5 course 9 :

CATEGORIE ELITE PRO

 

La course a commencé en force avec une bataille incroyable lors des manches qualificatives : la première est pour Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing) et la seconde revient à Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing), vainqueur de la course de la veille. Nathanael Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), constant sur ce tracé très spécifique entre les arbres, est 3ème des 2 manches. Les 6 points de la Super Pole sont attribués à Yann Ehrlacher après un tour chrono fantastique. 

Le cumul des points à l’issue des manches qualificatives et de la Super Pole est favorable au local de l’étape, Aurélien Panis, qui s’élance en pole de la finale. Dès l’extinction des feux de départ, Aurélien Panis a fermé la porte à ses adversaires mais quelques secondes plus tard, Yann Ehrlacher réalise un magnifique dépassement sur Aurélien et prend le large en empochant, au passage, le record du tour (+1 point). Nathanael Berthon en 3ème position, a dû résister aux attaques incessantes de JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Yann Ehrlacher remporte la course devant Aurélien Panis et Nathanael Berthon.

Aurélien Panis, grâce à cette 2ème place, assure sa première place au classement général et est donc titré vainqueur du e-Trophée Andros 2023, à domicile. 

CATEGORIE ELITE

Le doublé de Sylvain Pussier ! Confiant sur ce circuit de Lans-en-Vercors depuis sa victoire de la veille, Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) remporte les manches qualificatives face à un Julien Febreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing) déchaîné. Edgar Maloigne (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) gagne une place par rapport à la course précédente et est 3ème à l’issue des manches qualificatives.

 

Départ fabuleux pour Sylvain Pussier en finale, il prend le large suivi de très près par Julien Febreau. Malchanceux, Edgar Maloigne (#4 – Renault Zoé – DA Racing) qui partait 3ème de la finale, commet une petite erreur qui fait les affaires d’Emmanuel Moinel.  Sylvain Pussier remporte la victoire, 3ème de la saison, qui lui permet de reprendre la 1ère place du classement général. Julien Febreau et Emmanuel Moinel montent sur les 2ème et 3ème marches du podium. A noter la magnifique performance du vainqueur du Dakar 2023 Mathieu Baumel (#7 – AS01Clim Denfert – DRP) qui s’est classé à la 3ème place de la manche qualificative 1. 

Rendez-vous à Super Besse pour connaitre la suite du classement général.  

PHOTOS MICHEL MORILLON 

2ème ETAPE  e-TROPHEE ANDROS ANDORRE.

2ème ETAPE e-TROPHEE ANDROS ANDORRE.

Les pilotes de l’e-Trophée Andros avaient rendez-vous sur le circuit d’Andorre pour la 2ème manche de la saison, avec une nouveauté en piste : l’apparition du « Tour Joker ». Lors des finales, les pilotes ont dû prendre une fois ce Tour Joker.

COURSE 1

CATEGORIE ELITE PRO

Christophe Ferrier tout schuss.

Ce nouveau tracé a réussi à l’isolien Christophe Ferrier qui, après un week-end mitigé à Val Thorens, a su retrouver des sensations au volant sa Métropole Nice Côte d’Azur #06. Il remporte les manches qualificatives

 

talonné de près par Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing), de retour aux affaires et JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Il s’adjuge la pôle position après la Super Pole, remportée par Yann EhrlacherEn finale, JB Dubourg prend la tête dès le premier virage et remporte ce dernier round suivi de Christophe Ferrier et d’Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing).  A l’issue de la journée, c’est Christophe Ferrie cr qui l’emporte, première victoire de la saison, suivi de JB Dubourg et de Yann Ehrlacher. 

CATEGORIE ELITE

Le retour de la Reine Margot !

Sur un circuit d’Andorre qu’elle affectionne tout particulièrement, la commentatrice de la F1 sur Canal +, Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing) s’est imposée à l’issue des deux manches qualificatives devant Emmanuel Moinel (#4 – Renault Zoé – DA Racing) et Louis Gervoson (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc

Racing). Partie en pôle lors de la Super Finale, elle a dominé malgré les attaques incessantes de ses adversaires. Emmanuel Moinel, 3ème de la course, réalise une petite erreur à la sortie du Tour Joker laissant ainsi Louis Gervoson monter sur la 2ème marche du podium pour sa première course de la saison. Bonne opération tout de même pour Emmanuel Moinel qui vient partager la 1ère place au classement général avec Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), à égalité de points (158pts).

COURSE 2 :

CATEGORIE ELITE PRO

Aurélien Panis marque des points .

Deuxième journée de course sur le circuit d’Andorre dont le tracé a été modifié devenant ainsi beaucoup plus rapide et c’est Aurélien Panis qui remporte une 9ème victoire d’étape.  A piste fantastique, pilotage exceptionnel : Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing) réalise le grand chelem. Il remporte les manches qualificatives devant Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing) et Adrien Fourmaux (#7 – AS01 Clim Denfert – DRP) qui fait une magnifique journée pour son 2ème week-end sur glace. Cet ordre reste inchangé

après la Super Pole puisque c’est le grenoblois du team Saintéloc qui décroche la pôle. Lors de la finale, Aurélien réalise un départ parfait et ne laisse aucune chance à ses adversaires. Deux batailles ont lieu derrière, l’une entre Yann Ehrlacher et Adrien Fourmaux et l’autre entre Dorian Boccolacci (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) et Yvan Muller (#10 – Andros Sport – Mracing). Aurélien Panis l’emporte avec, en prime, le point du record du tour. En deuxième position, on retrouve Yann Ehrlacher suivi du rallyman Adrien Fourmaux qui décroche son premier podium. 

CATEGORIE ELITE

Margot Laffite : Miss Andorre 2022 !

Margot Laffite réitère son excellente performance et signe le doublé du week-end en décrochant la victoire de cette 2ème course d’Andorre ! Elle remporte à nouveau les 2 manches qualificatives haut-la-main, mais cette fois, c’est Julien Febreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing) qui la talonne, suivi de Louis Gervoson (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing) pour sa 2ème course. En finale, Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing) et

Julien Febreau réalisent un départ magistral et ce dernier prend le lead dès le premier virage. Victime d’un contact, Louis Gervoson ne finira pas la finale, laissant sa 3ème place à Edgar Maloigne (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing). Margot Laffite est la grande vainqueure de cette journée puisque cette deuxième victoire la propulse en tête du classement général. Julien Febreau monte sur la 2ème marche du podium et c’est Edgar Maloigne qui vient compléter le podium.   

Prochain rendrez-vous les 6 et 7 janvier  2023 sur le circuit d’Isola 2000. 

PHOTOS MICHEL MORILLON

RETOUR A VAL THORENS POUR LE  34ème e-Trophée Andros

RETOUR A VAL THORENS POUR LE 34ème e-Trophée Andros

Rendez-vous sur le mythique circuit “Alain Prost” de Val Thorens qui lance la saison de la 34ème édition du e-Trophée Andros.

Cette 34ème édition promet encore un grand spectacle puisqu’elle rassemble pas moins de 17 titres de champion du monde, 17 titres de vainqueur du e-Trophée Andros et des pilotes venus de tous horizons, à l’instar de Sébastien Loeb (9 x champion du monde), Yvan Muller (4 x champion du monde), Yann Ehrlacher (2 x champion du monde), JB Dubourg (6 x vainqueur du e-Trophée Andros), Aurélien Panis (1 x vainqueur du e-Trophée Andros), Adrien Fourmaux (WRC), Nathanael Berthon (WTCR), Margot Laffite,…

Course 1 : 03 décembre 2022. Dorian Boccolacci au sommet !!! de son art.

CATEGORIE ELITE PRO

Ce samedi signait le retour des « pro » de la glace sur le circuit de Val Thorens et le ton a été donné par Dorian Boccolacci au volant de sa voiture surnommée « Alice » (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) qui remporte les premières qualifications de la 34ème édition du Trophée Andros désormais 100% électrique depuis 4 ans. Après le tirage au sort de l’ordre de passage des 6 pilotes sélectionnés pour la Super Pole, celle-ci fût remportée

 

par JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Mais c’est Dorian Boccolacci qui, au cumul des points, se place sur la 1ère ligne pour la Super Finale suivi de  Nathanaël Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) et du champion sortant JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Ce dernier n’a  pu garder sa place suite à une

sortie de piste en début de course et dans les suivants, on assista à une bataille incessante entre Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing) et Yvan Muller (#10 – Andros Sport – Mracing). In fine Dorian Boccolacci passe haut la main 1er la ligne d’arrivée. On le retrouve sur le podium avec Nathanaël Berthon et JB Dubourg respectivement à la 2ème et 3ème place.

CATEGORIE ELITE

Julien Fébreau au rendez-vous dès le 1er virage !

Belle entrée en matière pour Julien Fébreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing) qui profite de la trêve hivernale de la F1 pour enfiler son casque et participer à la 4ème saison du e-Trophée Andros. Le commentateur star de Canal+  remporte les qualifications de la 1ère course et se place en pole position sur la grille de départ  aux côtés d’Eddy Benezet (#7 – AS01 Clim Denfert – DRP) et d’Emmanuel Moinel (#4 – Renault Zoé – DA Racing). Après le

passage de la dameuse pour optimiser la piste, les concurrents se sont lancés dans leur Super Finale et ont offert un magnifique spectacle derrière Julien Fébreau qui n’a eu de cesse de caracoler en tête dès le 1er virage. Il passe impérialement la ligne d’arrivée et monte sur la 1ère marche du podium, Eddy Benezet sur la seconde et Gérald Fontanel (#1 – Renault Zoé – DA Racing) sur la troisième. 

 

Course 2 : 04 décembre 2022. Aurélien Panis, vainqueur, Yvan Muller le retour !!!!

CATEGORIE ELITE PRO

Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing), très motivé pour la course au titre, remporte les qualifications devant « la légende » Yvan Muller (#10 – Andros Sport – Mracing), auréolé de 10 titres sur glace, avant de se lancer dans la Super Pole qu’il remporte également. Devant un public venu en masse autour du circuit, le Grenoblois aux couleurs de l’Isère se lance donc en pole position pour la Super Finale, il exécute un bon

départ et n’a de cesse de résister aux attaques d’Yvan Muller (qui signe le record du tour). Il est finalement le grand vainqueur de cette 2ème journée, Yvan Muller monte sur la 2ème marche du podium et Jimmy Clairet

(

#69 – Peugeot e208 Loxam), pour sa 1ère participation en catégorie Elite Pro, termine 3ème.

CATEGORIE ELITE

Retour gagnant de Sylvain Pussier !

Le patron de l’écurie SP Compétition Sylvain Pussier, au volant de sa Peugeot e208 #63, remporte brillamment les deux manches qualificatives de cette 2ème journée. Il se place donc en pole position devant

Edgar Maloigne (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) et Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing). Belle performance lors de la Super Finale d’Edgar Maloine qui a réussi à passer en tête sous le drapeau à damiers à l’issue de l’épreuve. Il monte sur la seconde marche du podium de la journée, Margot Laffite sur la troisième et Sylvain Pussier repart avec la coupe du vainqueur.

 

Aurélien Panis quitte Val Thorens en tête du 34ème e-Trophée Andros devant Nathanaël Berthon et le revenant Yvan Muller. Parmi les favoris, le grand perdant du week end est Yann Ehrlacher du team MRACING qui compte déjà 31 points de retard sur Aurélien Panis. Prochain rendez vous au meeting d’Andorre les 16 et 17 décembre 2022.

PHOTOS MICHEL MORILLON

 

Le Team Peugeot TotalEnergies franchit une nouvelle étape en course aux 6 Heures de Fuji

Le Team Peugeot TotalEnergies franchit une nouvelle étape en course aux 6 Heures de Fuji

Au Japon, cadre de la 5eme manche du Championnat du Monde FIA d’Endurance, le Team Peugeot TotalEnergies a mené ses deux 9X8 à l’arrivée. Ces six heures de course ont constitué une nouvelle étape indispensable au programme Hypercar Hybride 9X8. Cette expérience a validé les nombreux progrès menés par l’équipe depuis Monza.

 

Ce 11 septembre 2022, les deux 9X8 du Team Peugeot TotalEnergies ont passé le drapeau à damier à Fuji, après 6 heures de course, dans le cadre de la 5eme manche du Championnat du Monde FIA d’Endurance. La #93 (Di Resta-Vergne-Jensen) s’est classée au pied du podium quand la #94 (Rossiter-Duval-Menezes) a pris la 20e place.

Après trois séances d’essais libres et une qualification sans encombre, les deux 9X8 s’élançaient en course, en 4e et 5e positions. Les premiers relais se déroulaient sans problème avec un bon rythme notamment de James Rossiter familier du circuit.

Lors des premiers arrêts au stand, les mécaniciens réalisaient un sans-faute, permettant à la #94 de figurer en 3e position, au gré des ravitaillements de la concurrence.

A plus d’un tiers de la course, une première difficulté affectait la #94 avec Loïc Duval à son volant : fuite dans le circuit moteur, sans dommage collatéral mais nécessitant une immobilisation de vingt minutes. Ce problème qui n’avait jamais été identifié, a été fixé par l’équipe. Il allait survenir aussi sur la #93 (Paul Di Resta), impactant sa performance au classement général mais est d’ores et déjà résolu. Certains changements de pneus ont été adaptés suivant des faits de course puis un stop and go pour surconsommation d’énergie sur un relais frappait la #94.

Le déroulé de ces 6 heures prouve l’importance de ces 3 courses dès cette saison 2022 mais aussi une étape franchie dans le développement de la Peugeot 9X8 et de l’ensemble du Team Peugeot TotalEnergies qui va pouvoir désormais se concentrer sur le set up et la performance de la voiture. D’ici à Bahreïn (12 novembre) des séances sont planifiées pour réaliser de nouvelles progressions.