Kia lance le nouveau Kia XCeed restylé : un design modernisé, des technologies  optimisées et une nouvelle finition sportive GT-line Premium

Kia lance le nouveau Kia XCeed restylé : un design modernisé, des technologies optimisées et une nouvelle finition sportive GT-line Premium

Après s’être écoulé à plus de 120 000 exemplaires en Europe, dont 10 600 exemplaires en France, le Kia XCeed, célèbre crossover compact de la marque, bénéficie pour son millésime 2022 de toute une série d’améliorations. Outre un nouveau design extérieur audacieux, il hérite d’un intérieur optimisé et d’une nouvelle finition GT-line Premium qui confère à ce modèle très prisé de la clientèle française le pouvoir émotionnel de la Ceed GT-line Premium. Fort de ces différentes mesures d’optimisation, le XCeed constitue une offre encore plus séduisante sur le segment très disputé des crossovers compacts.

Le nouveau Kia XCeed hérite de nouveaux projecteurs LED, d’une calandre redessinée, d’un bouclier avant remodelé et de prises d’air au profil innovant. En intégrant astucieusement les antibrouillards dans les projecteurs, les designers ont été en mesure d’insérer des déflecteurs de part et d’autre du bouclier, lesquels permettent de canaliser l’air naturellement autour des roues du véhicule et de réduire ainsi la traînée aérodynamique tout en améliorant le rendement énergétique.

L’arrière du Kia XCeed se distingue par plusieurs attributs stylistiques d’un grand raffinement, à l’instar de son nouveau diffuseur associé à un sabot de protection en finition noir brillant (couleur carrosserie sur GT-line Premium), et à des sorties d’échappement factices au design discret, gage d’un nouveau look plus dynamique. Si l’empattement est identique à celui des autres modèles de la gamme Ceed (2 650 mm), les porte-à-faux avant et arrière du Kia XCeed ont été respectivement rallongés de 25 mm (à 905 mm) et de 60 mm (à 840 mm) par rapport à la berline 5 portes. Ainsi, les portes avant sont les seuls panneaux de carrosserie repris de la berline cinq portes.

Au niveau de la poupe, les feux arrière à LED effilés présentent une signature lumineuse high-tech, et semblent transpercer les épaulements selon certains angles de vue. Les lignes fortement marquées courant le long du hayon et du bouclier arrière confèrent au nouveau XCeed une assise plus large et plus stable.

À l’intérieur, le Kia XCeed bénéficie d’une console centrale sculptée légèrement orientée vers le conducteur. Avec sa position d’assise surélevée et sa garde au sol rehaussée par rapport à une berline classique, il offre aux conducteurs une position de conduite plus sportive ainsi qu’une meilleure visibilité sur la route. Le système d’infodivertissement à écran tactile « flottant » se détache élégamment de la planche de bord, tandis que la partie inférieure du tableau de bord intègre les commutateurs, cadrans et boutons tactiles permettant de commander le volume du système audio ainsi que le système de chauffage et de ventilation. Résolument ergonomiques tant dans leur agencement que dans leur fonctionnement, ces commandes ont été repensées pour favoriser une meilleure interaction et permettre au conducteur de modifier rapidement l’environnement intérieur en conservant le plus possible les yeux sur la route.

Des motorisations essence, Diesel à hybridation légère et hybride rechargeable conçues pour répondre à tous les besoins des clients. Le nouveau Kia XCeed est disponible avec une vaste gamme de moteurs essence ou Diesel à hybridation légère suralimentés d’une exceptionnelle vivacité. Les clients peuvent également opter pour une version hybride rechargeable hautement évoluée gage d’une mobilité zéro émission étendue (en mode 100% électrique). La nouvelle gamme XCeed propose 2 moteurs à essence suralimentés à injection directe (T-GDi) : un bloc T-GDi 1,0 litre 3 cylindres d’une puissance de 120 ch pour un couple de 172 Nm, un bloc T-GDi 1,5 litre 4 cylindres développant 160 ch pour un couple de 253 Nm.

Le nouveau XCeed se dote de nombreux autres équipements de sécurité parmi lesquels le système anticollision avant avec détection des véhicules et des piétons (FCA), le système de reconnaissance des panneaux de limitation de vitesse (ISLW), le système d’aide au maintien dans la file (LKA), le système d’assistance active à la conduite dans les embouteillages (LFA), le système d’assistance active à la conduite sur autoroute (HDA) et le système de gestion intelligente des feux de route (HBA).

XXVe Rallye Monte-Carlo Historique (24 janvier – 1er février 2023) : L’héritage du WRC !

XXVe Rallye Monte-Carlo Historique (24 janvier – 1er février 2023) : L’héritage du WRC !

Le Comité d’Organisation de cette 25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique s’est attaché à rétablir cinq authentiques parcours de concentration, depuis Bad Hombourg, Oslo, Londres, Turin et Reims. Cinq itinéraires… pour une destination commune : Monte-Carlo. L’itinéraire concocté pour le rallye est lui toujours composé d’épreuves de renom, toutes généralement empruntées par son ainé du Championnat du Monde WRC. Et nombreux seront encore les concurrents, sur ces routes mythiques comprenant 17 Spéciales de Régularité (SR), à vouloir se bagarrer pour décrocher un trophée détenu par Philippe et Antoine CORNET DE WAYS RUART, vainqueurs en 2022 sur Porsche 911 de 1965.

L’arrivée échelonnée des concurrents en Principauté de Monaco, en fonction de leur ville de départ, est programmée le vendredi 27 janvier entre 15h00 et 19h40. Le lendemain, samedi 28 janvier à partir de 07h00, début de l’Etape de Classement, avec quatre SR à disputer durant la montée vers Valence, préfecture du département de la Drôme, une nouvelle fois Ville étape de l’évènement. En guise de hors d’œuvre, la copieuse « Briançonnet – Ubraye / SR 1 / 09h20 / 18,27 km », avec notamment le passage des Col du Buis (1196 m) et de Laval (1100 m) à négocier dans la vallée d’Ubraye, à cette période de l’année où neige et verglas sont très souvent omniprésents. Ensuite direction « Chaudon-Norante – Digne-les-Bains / SR 2 / 10h35 / 15,79 km » et son illustre Col du Corobin (1211 m) à braver. Dans la foulée, Digne-les-Bains accueille place du Tampinet, le contrôle horaire de mi-journée (11h20). Une courte pause avant d’enchaîner avec « Le Castellard-Mélan – Sisteron / SR 3 / 12h00 / 33,34 km » et le redouté Col Fontbelle (1304 m) puis « Recoubeau-Jansac – Pennes-le-Sec / SR 4 / 14h30 / 16,12 km » et le passage du Col de Pennes (1040 m) pour clore sportivement cette étape. Un dernier contrôle horaire est programmé à Crest (15h40) afin de réguler les équipages avant leur arrivée Champ de Mars à Valence (16h30).

Après un départ de Valence à 08h00, direction les terres Ardéchoises, dimanche 29 janvier, pour la 1ere partie de l’Etape Commune. Au programme de la matinée, une version du Moulinon revue et modifiée « Saint-Sauveur-de-Montagut – Saint-Andéol-de-Vals / SR 5 / 09h00 / 40,69 km », via le Col de Sarasset (825 m). Arrêt buffet ensuite, à Antraigues-sur-Volane devant la célèbre « Remise », pour notamment déguster cette notoire tartelette aux pommes savamment concoctée par toute la famille Jouanny. S’en suivra un autre chrono de légende, « Burzet – Saint-Martial / SR 6 / 11h20 / 30,63 km », via la cascade du Ray-Pic et Lachamp-Raphaël. Comme les années précédentes, la pause de mi-journée s’articule autour de la place du Marché à Saint-Agrève (13h00), où une dégustation de produits locaux et régionaux arrive toujours à point nommé. Un plein d’énergie non négligeable pour les concurrents, avant d’enchainer avec la boucle altiligérienne de « Saint-Bonnet-le-Froid / SR 7 / 13h30 / 27,05 km » qui, depuis le précédente édition, emprunte désormais la route de Liberthe qui a surpris bien des participants. Pour terminer la journée enfin, l’épreuve de « Lamastre – Colombier-le-Jeune / SR 8 / 15h05 / 14,15 km », inédite, via le Col de Saint-Genest (709 m). Comme de coutume désormais, le retour sur Valence (17h10) est précédé, à partir de 16h20, de l’opération séduction« rallystiques » du quai Farconnet à Tournon-sur-Rhône avec de nombreuses animations parfaitement orchestrées par le comité des fêtes tournonais..

Direction le Haut-Diois, le lundi 30 janvier à partir de 08h00 toujours au départ de Valence, pour la 2e partie de l’Etape Commune, avec d’entrée « Valdrôme – La Piarre / SR 9 / 10h10 / 13,78 km » à disputer via la Bâtie-des-Fonds – Source de la Drôme – et le Col de Carabes (1261 m), frontière naturelle avec le département voisin des Hautes-Alpes. Trait d’union parfait pour enchainer la spéciale des Savoyons entre « Furmeyer – Barcillonnette / SR 10 / 11h10 / 14,86 km » avec le Col d’Espréaux (1160 m) à défier. La halte de mi-journée à Laragne-Montéglin (12h10) tombe à pic pour les concurrents. Quelques minutes pour se ressourcer avec quelques douceurs locales avant de se lancer dans « Eygalayes – Verclause / SR 11 / 12h50 / 36,89 km » dont l’ascension des Cols Saint-Jean (1159 m), de Pierre-Vesce (1056 m) et du Reychasset (1052 m) au cœur des Baronnies n’est jamais une mince affaire ! Enfin, pour terminer cette journée, retour vers le massif du Diois avec notamment « Crupies – Saillans / SR 12 / 14h35 / 23,71 km » à parcourir, avec les Cols du Gourdon (953 m) et de la Chaudière (1047 m) comme juges de paix! La dernière halte jour est prévue Place du Champ de Mars à Crest avec un contrôle horaire à partir de 15h40 avant le retour sur Valence (16h30).

Mardi 31 janvier, le départ de Valence est programmé à 07h00, direction la Drôme provençale. Cette 3e et dernière partie de l’Etape Commune débute par « Saint-Nazaire-le-Désert – La Motte-Chalancon / SR 13 / 08h30 / 19,96 km », un monument revisité pour l’occasion avec le Col de Planlara (1037 m) à franchir avant de poursuivre, à exactement la même altitude, avec celui de Chamauche. La suite des explications passe par le chrono de « Montauban-sur-l’Ouvèze – Laborel / SR 14 / 10h05 / 18,91 km » dans sa version classique du Col de Perty (1302 m). Enfin, pour terminer cette longue journée de retour en Principauté, direction « Thorame-Haute – Le Fugeret / SR 15 / 13h05 / 18,43 km » par la route de La Colle Saint Michel. L’ultime contrôle horaire avant l’entrée en parc fermé à Monaco (16h00) est planifié Place Neuve à La Turbie, à partir de 15h30.

Quelques petites heures de repos, avant le départ de l’Etape Finale (21h00), programmée dans la nuit du mardi 31 janvier au mercredi 1er février. Avec au menu de cette dernière nuit les chronos de « Col de Braus – Lantosque / SR 16 / 22h00 / 34,35 km » et de « La-Bollène-Vésubie – Moulinet / SR 17 / 23h10 / 22,33 km ». Arrivée prévue sur le Port Hercule de Monaco aux alentours de 01h10. Enfin, et selon la tradition, la Soirée de Gala et de Remise des Prix se déroulera le mercredi 1er février au soir, dans la Salle des Etoiles du Sporting Monte-Carlo. (Tenue de soirée ou habit sombre exigés).

PHOTOS MICHEL MORILLON.

Kia lance la dernière phase d’essais techniques de Kia EV9 avant ses débuts en 2023

Kia lance la dernière phase d’essais techniques de Kia EV9 avant ses débuts en 2023

Kia a dévoilé les détails de l’ultime programme d’essais intensifs auquel est soumis EV9 avant son lancement sur la scène internationale en 2023. Ce tout nouveau modèle 100% électrique deviendra le futur fleuron de la marque et révolutionnera le segment des SUV électriques de grand gabarit tout en accélérant la transformation de Kia et en réaffirmant son leadership dans le domaine de la mobilité électrique durable.
Développé sur une période de 44 mois dans le but d’établir de nouvelles références en matière de design, de performances, d’autonomie, de dynamique de conduite, de technologie et de confort, EV9 fait actuellement l’objet d’essais de durabilité extrêmes portant sur chacune de ses composantes au centre international de R&D de Kia à Namyang, en Corée du Sud.
Durant cette ultime phase de test, EV9 est soumis sans relâche à un programme de vérification des plus exigeants sur des terrains vallonnés dédiés aux 4×4 et des pistes accidentées, ainsi qu’à des essais de franchissement à gué en eau profonde afin de pouvoir garantir une fiabilité maximale, même dans les conditions les plus difficiles. Sur les pistes de vitesse, de test du comportement routier et à faible adhérence de son centre d’essais, Kia passe au crible chacune des caractéristiques de performances et de tenue de route de EV9.
Parallèlement, sur les pavés impitoyables des routes belges, les ingénieurs de Kia peuvent tester le confort de suspension et la qualité de fabrication de EV9 dans les conditions les plus extrêmes. En plus de ce programme d’essais au centre de R&D de Namyang, EV9, à l’instar de chaque modèle de la marque, a également subi toute une batterie de tests particulièrement sévères à différents endroits de la planète.

Kia avait déjà offert au public du monde entier un avant-goût de son nouveau fleuron lors de la présentation du Concept EV9 au salon AutoMobility de Los Angeles l’année dernière. Incarnant la nouvelle philosophie de design révolutionnaire de la marque baptisée « Opposites United » / (L’alliance des contraires), EV9 représentera dans sa version de série la quintessence absolue du SUV. Développé sur la plateforme internationale modulaire électrique (E-GMP) de Kia, EV9 apportera une nouvelle offre dans l’ère de la mobilité durable, à la fois sophistiquée, zéro émission et high-tech.

Kia EV9, qui devrait faire sa première apparition publique au premier trimestre 2023, s’inscrira dans les traces du très innovant crossover Kia EV6, lauréat de nombreux prix prestigieux dont le titre de « Voiture Européenne de l’Année 2022 ».

91e Rallye Automobile Monte-Carlo (16-22 janvier 2023) Monaco au cœur de l’action !

91e Rallye Automobile Monte-Carlo (16-22 janvier 2023) Monaco au cœur de l’action !

L’exceptionnel tend parfois à se reproduire ! Face à l’énorme succès rencontré lors de la précédente édition et comme souhaité par le Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco, le Rallye Automobile Monte-Carlo, manche inaugurale du Championnat du Monde FIA des Rallyes 2023 (WRC), continue – pour cette édition encore – de prendre ses quartiers d’hiver en Principauté. Géographiquement plus compact, mais toujours aussi sélectif, le parcours – modifié de 50% par rapport à celui de l’édition 2022 – est doté de nouveautés comportant toujours de très nombreuses difficultés, avec des épreuves chronométrées très relevées, tracées dans les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence.

Après trois journées consacrées aux reconnaissances, du lundi 16 janvier au mercredi 18 janvier, place à la séance de mise au point. Cette dernière est programmée le jeudi 19 janvier à partir de 09h31. Dédiée aux pilotes de Priorité 1 et interdite au public pour des raisons de sécurité, ce « Shakedown » emprunte la route du Col des Banquettes (744m) en direction de Peille, au départ de la place Saint-Sébastien à Sainte-Agnès, village du littoral le plus haut d’Europe. Une montée de 2,29 km sinueuse à souhait, qui devrait permettre aux équipages de parfaire leurs ultimes ajustements avant le départ officiel donné le soir même, à partir de 18h30, depuis l’écrin somptueux de la Place du Casino à Monte-Carlo. Au programme de cette toute première étape nocturne « du Turini », deux spéciales totalisant 40,93 kilomètres chronométrés, composés notamment de l’inédite version de « La Bollène-Vésubie / Col de Turini » (ES 1 – 15,52 km – 20h18), avec un tout nouveau départ depuis le Camp de Millo, et de la spéciale très rythmée de « La Cabanette / Col de Castillon » (ES 2 – 25,41 km – 21h11) qui, pour la toute première fois de l’histoire du rallye, voit l’enchainement en course des cols de l’Orme (1000m), de l’Ablé (1149m), de Braus (1002m), Saint- Jean (642m) et de Castillon (706m).
Vendredi 20 janvier, cap au Nord du département des Alpes-Maritimes, pour le deuxième jour de course qui totalise 106,18 kilomètres contre le chronomètre. Avec une boucle de trois épreuves spéciales à parcourir deux fois, et une halte intermédiaire pour un regroupement et un changement de pneumatiques à Puget-Théniers, cette journée est un véritable concentré de difficultés ! Avec « Roure / Beuil » (ES 3/6 – 18,33 km – 09h14 / 14h08) à disputer au pied du Parc National du Mercantour, via le col de la Couillole (1678m), puis l’enchaînement de « Puget-Théniers / Saint- Antonin » (ES 4/7 – 20,06 km – 10h22 / 15h16) et de « Briançonnet / Entrevaux » (ES 5/8 – 14,70 km – 11h25 / 16h19) via le Col du Buis (1196m) et le Val-de-Chalvagne, autant dire que cette 2e étape promet d’être animée !

 

Direction les Alpes-de-Haute-Provence pour le troisième jour de course samedi 21 janvier, qui totalise 98,43 kilomètres chronométrés. L’étape débute par la version 2020 de « Malijai / Puimichel » (ES 9/11 – 17,47 km – 09h38 / 14h08), avant de poursuivre avec le juge de paix de « Saint-Geniez / Thoard » (ES 10/12 – 20,79 km – 11h26 / 15h56) via Authon et son redouté Col de Fontbelle. Une boucle à disputer à deux reprises, entrecoupée d’un arrêt « pneumatiques » et d’un regroupement obligatoire à Digne-les-Bains, sur une Place du Général de Gaulle récemment rénovée. Enfin, pour en terminer avec cette nouvelle journée sans assistance, les concurrents ont rendez-vous avec « Ubraye / Entrevaux » (ES 13 – 21,91 km – 17h59), à parcourir de nuit, via, comme la veille et en fin de spéciale, la route de la Clue le long du Ravin-de-Chalvagne.
En conclusion de l’épreuve, dimanche 22 janvier, quatre chronos totalisant 68,98 kilomètres à disputer, toujours sans assistance. Deux épreuves bien connues de l’arrière-pays, au Nord-Est du département des Alpes-Maritimes, à parcourir à deux reprises par tous les équipages encore en course – non limités réglementairement à 50 comme les années précédentes – pour redonner la part belle aux pilotes amateurs. Des concurrents qui vont devoir composer avec la version longue de la traditionnelle « Lucéram / Lantosque » (ES 14/16 – 18,97 km – 08h01 / 10h40) et la reprise de l’épreuve inaugurale « La Bollène-Vésubie / Col de Turini » (ES 15/17 – 15,52 km – 09h08 / 12h18), spéciale qui, lors du second passage, fait office de Power Stage. Retour prévu à Monaco vers 14h30 pour l’arrivée finale, suivie de la traditionnelle Cérémonie de Remise des Prix Place du Casino.
Epreuves, Kilométrages et Horaires donnés à titre indicatif, jusqu’à la publication officielle de l’itinéraire.
Monaco, le 22 juillet 2022

PHOTOS : Michel MORILLON

NOUVEAU  KIA NIRO, UNE 5e GENERATION TRES ELECTRIFIEE

NOUVEAU KIA NIRO, UNE 5e GENERATION TRES ELECTRIFIEE

C’est à Francfort que le constructeur Kia a dévoilé le nouveau Kia Niro. C’est la 5e génération de ce  modèle lancé en 2016 et vendu en France à 34 000 exemplaires dont 39 % en version électrifiée. Kia présente la gamme électrifiée du Niro avec une version hybride (HEV), une version hybride rechargeable (PHEV) et une version tout électrique (EV). Le constructeur affirme son objectif d’électrification de sa gamme, il a d’ailleurs été récompensé pour son modèle haut de gamme, la Kia EV6 élue voiture de l’année 2022. Nous disposons des trois versions pour nos essais.

Les lignes extérieures du nouveau Niro sont très réussies, le nouveau Niro apporte au segment des SUV une dimension de modernité et d’esthétique remarquable.  À l’avant, le nouveau Niro adopte la dernière déclinaison de la face avant « Tiger Face » / (Tête de tigre) emblématique des modèles Kia.  Les feux de jour « Heartbeat » aux lignes anguleuses viennent accentuer le look très contemporain du Niro, tandis que le sabot de protection et la moulure inférieure du bouclier contribuent à mettre en avant son caractère robuste.  Le Kia Niro 100% électrique reçoit un traitement spécifique au niveau de son bouclier et de sa grille inférieure et se dote de jantes alliage exclusives de 17 pouces. La prise de recharge de la version électrique est positionnée au centre de la calandre pour une plus grande facilité d’accès à toutes les bornes de recharge. Vu de profil, le nouveau Niro affichent des lignes maîtresses et le profil audacieux de son montant C aérodynamique qui s’étire en direction de sa partie arrière. Ce principe facilite la circulation de l’air à sa partie inférieure et garantir une meilleure aérodynamique. Le nouveau Kia Niro offre un très bon  coefficient de trainée (Cx) de 0,29.

Les feux arrière à LED en forme de boomerang épousent le profil du panneau d’aile et viennent mordre sur le montant C, contribuant ainsi à accentuer l’allure sportive du véhicule.

Les clients auront le choix entre neuf coloris extérieurs : Vert Aventurine, Blanc Céleste, Blanc Nacré, Noir Ebène, Bleu Minéral, Gris Cosmique, Orange Boréale, Rouge Magma et Gris Comète. Pour personnaliser encore davantage leur véhicule, ils pourront également choisir entre 3 combinaisons de coloris pour le montant C afin de créer un contraste ou une unité de ton avec la livrée du véhicule.

Le plus étonnant de ce nouveau Kia Niro est le soin et la modernité apportés à l’habitacle intérieur. Grâce à la plateforme « K » dédiée aux véhicules du segment C, l’habitacle du nouveau Niro bénéficie de dimensions optimisées par rapport à celles de son prédécesseur. Fort d’un plus vaste espace intérieur et d’une meilleure ergonomie, le nouveau Niro offre une habitabilité d’exception aux places avant. Le design affiné des sièges avant offre aux passagers de la deuxième rangée un espace généreux et confortable. La planche de bord  au design asymétrique enveloppe le conducteur, l’accès aux commandes  indispensables est facilité par une ergonomie bien pensée. Deux écrans d’affichage contigus de 10,25 pouces affichent les informations du véhicule et de navigation tandis qu’un affichage tactile multifonction permet de commander les systèmes de chauffage et d’infodivertissement. Le nouveau Niro se dote, selon les versions, d’un hayon électrique qui s’ouvre automatiquement dès qu’il détecte la clé intelligente du conducteur. Sur la version 100% électrique, le conducteur peut visualiser et contrôler l’état de charge du véhicule et  localiser les bornes de recharge à proximité.

Le nouveau Niro bénéficie de nombreuses fonctions d’agrément parmi lesquelles le système RSPA permet au conducteur de quitter son véhicule avant de le stationner et de réaliser la manœuvre en appuyant sur un simple bouton de la télécommande, le véhicule est capable de se garer par lui-même en avançant et en reculant en ligne droite à l’aide de ses caméras à vision panoramique et de ses capteurs à ultrasons. Le nouveau Niro offre une capacité de chargement parmi la meilleure de sa catégorie notamment la version électrique avec  475 litres de son volume de coffre aux 20 litres supplémentaires de son coffre avant. Les versions hybride et hybride rechargeable revendiquent quant à elles un volume de chargement total de 451 et 348 litres qui peut être optimisé en rabattant à plat leurs sièges arrière. Avec les sièges arrière repliés, le volume de chargement peut être porté respectivement à 1 445 litres, 1 342 litres et 1 392 litres sur les versions hybride, hybride rechargeable et électrique.

Coté motorisation, les modèles hybride et hybride rechargeable se dotent du moteur essence Smartstream GDI 1,6 litre de Kia associé à sa transmission automatique à double embrayage à six rapports (DCT6) de deuxième génération. Sur la version hybride, le bloc quatre cylindres développe une puissance maximale combinée de 141 ch lorsqu’il est associé au moteur électrique synchrone à aimant permanent de 32 kW (43,5 ch). La déclinaison hybride rechargeable se dote, quant à elle, d’un moteur électrique de 62 kW (84 ch) qui contribue à délivrer une puissance combinée maximum de 183 ch – ce sont 42 ch de plus que son prédécesseur  et offre une autonomie en mode tout électrique de 65 km (cycle mixte WLTP, avec jantes 16 pouces).

La version 100% électrique du Niro (Niro EV) associe une autonomie exceptionnelle de 460 km (WLTP) – contre 455 km pour le modèle qu’il remplace et développe une puissance de 150 kW (204 ch) un couple instantané de 255 Nm. Le nouveau Kia Niro EV propose de série un chargeur embarqué triphasé de 11 kW.

Les versions hybride et hybride rechargeable conservent une remarquable capacité de remorquage freinée de 1 300 kg. Le nouveau Kia Niro 100% électrique offre, quant à lui, une capacité de remorquage de 750 kg, permettant aux clients, de donner libre cours à leurs envies d’aventure, sans émettre le moindre rejet polluant.

Nous avons pu essayer  les trois versions du nouveau Niro sur un parcours d’environ  70 km offrant une variété de terrain, de la ville à la nationale, un peu d’autoroute et de belles portions sinueuses dans  la banlieue de Francfort. Malgré des poids différents, de 1 490 kg pour le HEV à 1 739 kg pour l’électrique, le comportement routier des trois modèles est sensiblement identique. On apprécie immédiatement  le confort de suspension et sa douceur de fonctionnement. Le châssis et le train avant sont efficaces sur les routes sinueuses et le confort et le silence agréable sur autoroute. Sur la version PHEV, avec un pied léger, on effectue facilement les 50 à 60 kilomètres annoncés en 100 % électrique sans réveiller le 1,6 l. On peut activer le mode sport pour une conduite plus dynamique et des  relances plus franches. La version 100% électrique est très agréable à conduire, le silence, la fluidité et la souplesse de fonctionnement en font un véhicule très attractif et très fonctionnel. Avec  460 km d’autonomie WLTP, Kia place la barre très haute mais nous n’avons pas pu tester ces données.

Les tarifs vont de 31790 € à 48090 € selon les modèles et le niveau de finition. A noter le bonus de 1000 € pout la version hybride rechargeable (PHEV) et 6000 € pour la version 100 % électrique (EV)

Ce nouveau Kia Niro nous a véritablement séduit, un look qui attire le regard, un environnement intérieur d’une grande modernité, notamment avec une  planche de bord très réussie. Le confort et la fluidité de fonctionnement associé à un comportement routier sans reproche  donnent à ce nouveau Kia de vrais atouts sur le segment  très concurrentiel des SUV compacts.

PHOTOS : Michel MORILLON

Le Combi VW roule des mécaniques en Bourgogne du Sud

Le Combi VW roule des mécaniques en Bourgogne du Sud

5ème édition du French VW Bus Meeting 19-20-21 août à Chérizet en Saône-et-Loire. Irrésistibles phares ronds et moteur increvable à l’arrière : le Combi Volkswagen, symbole de tout un art de vivre, fédère des milliers de passionnés autour de ses aptitudes de baroudeur et de sa cool attitude. Plus de 1500 spécimens sont attendus du 19 au 21 août au Domaine des Trois Lacs à Chérizet (la plus petite commune de Saône-et-Loire avec 17 habitants !), où se tient le plus important rassemblement d’Europe de véhicules Combi et Transporter. Le temps d’un grand week-end, c’est une certaine idée de la liberté qui étourdit la Bourgogne du Sud de musique, d’animations conviviales et de joie de vivre façon « flower power » !

Sobrement bicolore, uni ou peinturluré de motifs psychédéliques, il promène sa bouille irrésistible ainsi que les familles et les voyageurs avides de grands espaces aux quatre coins du monde depuis les années 1950 : le Combi est la star incontestée du rassemblement de Chérizet ! Et il n’est pas venu seul : on attend plus de 1500 véhicules, Combi et Transporter, autour du lac où se monte le « Village Combi » dans une ambiance festive et conviviale. Toit relevable et tente déployés, table de camping égayée de quelques boissons pour l’apéro, aménagements intérieurs astucieux et carrosseries brillantes : le Combi fait la preuve de son ingéniosité pour le plus grand plaisir de ses passagers et des curieux venus l’admirer. Dans le cadre privilégié du Domaine des Trois Lacs, au cœur du village bourguignon de Chérizet, une parenthèse bucolique s’ouvre et s’échappe sur les petites routes en couleurs façon « flower power » 

Descendre de Combi, d’accord, mais seulement si c’est pour monter au ciel… en montgolfière ! On admire de haut le splendide site des Trois Lacs et on en profite pour repérer l’emplacement du terrain de cross où se tient l’épreuve la plus spectaculaire du week-end, réservée aux amateurs de sensations fortes. Ici creux et bosses n’effraient pas le Combi dans sa version T3 Syncro : van de tous les extrêmes, il prouve qu’il ne craint aucun terrain d’aventure en venant à bout des ornières boueuses grâce à ses capacités de franchissement qui font pâlir n’importe quel 4×4 moderne… Et pour nettoyer les passages de roues on observe la technique de la Schwimmwagen : un exemplaire de cette exceptionnelle voiture amphibie datant de la Seconde guerre mondiale est présent pour voguer sur les eaux du lac ! Coque étanche et hélice relevable en plus de ses quatre roues : la vieille dame n’a plus grand-chose à voir avec la VW Coccinelle dont elle est issue, ce qui ne l’empêche pas d’assurer le spectacle avec élégance.

L’événement se termine en beauté par la remise des prix distinguant les bus VW les plus chouettes parmi tous ceux qui ont fait le déplacement. Alors, rose ? Vert ? Jaune ? Charme vintage ou beauté contemporaine ? Entre nous, peu importe, pourvu que ça roule !