RECORD D’ENGAGES POUR LE 74e RALLYE MONT-BLANC MORZINE

RECORD D’ENGAGES POUR LE 74e RALLYE MONT-BLANC MORZINE

Avec 216 engagés en rallye national, le rallye du Mont-Blanc Morzine bat des records. Les principaux acteurs du Championnat de France sont présents. La lutte pour le titre entre Quentin Giodano  (Volkswagen Polo Rally2) et Nicolas Ciamin (Hyundai i20 Rally2) est une nouvelle fois arbitré par Yann Bonato (C3 Rally2).

Pour cette reprise du ‘CFR’ après la trêve estivale, l’équipage des 2 Alpes a trouvé le terrain de jeu idéal sur un tracé montagnard sinueux.e En signant 7 temps scratchs et un 6ème succès à Morzine, leur 3ème de la saison, Yoann Bonato et Benjamin Boulloud ont marqué des points précieux pour les classements pilotes et copilotes, et restent mathématiquement en lice pour le titre.

Derrière eux, Quentin Giordano et Kevin Parent n’ont pas démérité. Auteurs de 6 temps scratchs, ils ont performé tout au long du weekend en gardant comme objectif principal le championnat et donc l’ambition de creuser l’écart sur leurs actuels premiers poursuivants Nicolas Ciamin et Yannick Roche. Ces derniers ont connu un weekend plus mitigé, en recherche de performance, et ponctué par des choix de pneus audacieux mais peu payants. Ils terminent le rallye au pied du podium.

Troisièmes à l’arrivée à Morzine, Hugo Margaillan et Laetitia Marsault ont célébré leur premier podium en CFR. De plus en plus appliqués, avec l’expérience acquise depuis le début de la saison au sein du Team CHL Sport Auto et aux côtés des quadruples Champions de France Bonato-Boulloud, ils sont récompensés du travail accompli et ont prouvé qu’il fallait désormais également compter sur eux aux avant-postes.

Présent avec brio sur plusieurs manches du CFR entre 2010 et 2018, Jérémi Ancian est revenu pour une pige ponctuée d’une très belle place dans le top 5, montant en puissance tout au long du weekend avec le 2ème meilleur temps de la dernière spéciale. William Wagner, auteur du dernier temps scratch, Thibault Habouzit, autre pigiste de talent, Jérome Chavanne, fidèle de l’épreuve haute-savoyarde, Cédric Robert, et Florian Bernardi bouclent le top 10 de cette 6ème manche 2022.

Les nombreux spectateurs du Rallye Mont-Blanc Morzine ont profité ce weekend de la participation exceptionnelle de Simon Jean-Joseph et Patrick Pivato au volant de la Subaru Impreza avec laquelle ils s’étaient imposés en 1998 ! 24 ans plus tard, le spectacle était plus que jamais au rendez-vous, et l’objectif de terminer dans le top 20 atteint avec la 19ème position au classement général !

Championnat de France 2 Roues Motrices. S’ils espéraient avec leur Alpine A110 RGT une meilleure place au classement général à l’issue de ce Rallye Mont-Blanc Morzine, Cédric Robert et Matthieu Duval ont pu savourer une nouvelle victoire dans le classement 2 Roues Motrices, auteurs de tous les temps scratchs du weekend. Grégory Fontalba s’est, dès la 3ème spéciale, installé à la 2ème place, pour ne plus la quitter jusqu’à l’arrivée. Après la sortie de route de Cyril Raymond dans l’ES12, c’est Fabrice Bect qui s’est hissé sur la 3ème marche de ce podium 100% Alpine A110 RGT.

 

 

Yoann Bonato et Benjamin Boulloud remportent leur 6ème succès sur le mythique rallye haut-savoyard  et deviennent les plus titrés sur ce rallye devant le regretté Philippe Bugalski (5 victoires). Quentin Giordano et Kevin Parent ont renforcé leur position de leaders au classement général en devançant Nicolas Ciamin et  Hugo Margaillan et Laetitia Marsault ont décroché leur premier podium’.

 

 

CLASSEMENT du 74ème Rallye Mont-Blanc Morzine :

1 BONATO / BOULLOUD (Citroën C3 – CHL Sport Auto) 1:47:30,9

2 GIORDANO / PARENT (Volkswagen Polo GTI – Sarrazin Motorsport) +00:17.2

3 MARGAILLAN /  MARSAULT (Citroën C3 – CHL Sport Auto) +00:32.1

4 CIAMIN / ROCHE (Hyundai i20 – Hyundai 2C Compétition) +00:49.4

5 ANCIAN / DI LULLO (Volkswagen Polo GTI – Sarrazin Motorsport) +01:05.3

6 WAGNER / MILLET (Volkswagen Polo GTI – Sarrazin Motorsport) +01:07.0

CLASSEMENT GENERAL PROVISOIRE APRÈS MANCHE 6 :

1 Quentin GIORDANO – 130 pts

2 Nicolas CIAMIN – 103 pts

3 Yoann BONATO – 81 pts

4 Cédric ROBERT – 78 pts

5 William WAGNER – 61 pts

6 Hugo MARGAILLAN – 57 pts

PHOTOS : Michel MORILLON

XXVe Rallye Monte-Carlo Historique (24 janvier – 1er février 2023) : L’héritage du WRC !

XXVe Rallye Monte-Carlo Historique (24 janvier – 1er février 2023) : L’héritage du WRC !

Le Comité d’Organisation de cette 25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique s’est attaché à rétablir cinq authentiques parcours de concentration, depuis Bad Hombourg, Oslo, Londres, Turin et Reims. Cinq itinéraires… pour une destination commune : Monte-Carlo. L’itinéraire concocté pour le rallye est lui toujours composé d’épreuves de renom, toutes généralement empruntées par son ainé du Championnat du Monde WRC. Et nombreux seront encore les concurrents, sur ces routes mythiques comprenant 17 Spéciales de Régularité (SR), à vouloir se bagarrer pour décrocher un trophée détenu par Philippe et Antoine CORNET DE WAYS RUART, vainqueurs en 2022 sur Porsche 911 de 1965.

L’arrivée échelonnée des concurrents en Principauté de Monaco, en fonction de leur ville de départ, est programmée le vendredi 27 janvier entre 15h00 et 19h40. Le lendemain, samedi 28 janvier à partir de 07h00, début de l’Etape de Classement, avec quatre SR à disputer durant la montée vers Valence, préfecture du département de la Drôme, une nouvelle fois Ville étape de l’évènement. En guise de hors d’œuvre, la copieuse « Briançonnet – Ubraye / SR 1 / 09h20 / 18,27 km », avec notamment le passage des Col du Buis (1196 m) et de Laval (1100 m) à négocier dans la vallée d’Ubraye, à cette période de l’année où neige et verglas sont très souvent omniprésents. Ensuite direction « Chaudon-Norante – Digne-les-Bains / SR 2 / 10h35 / 15,79 km » et son illustre Col du Corobin (1211 m) à braver. Dans la foulée, Digne-les-Bains accueille place du Tampinet, le contrôle horaire de mi-journée (11h20). Une courte pause avant d’enchaîner avec « Le Castellard-Mélan – Sisteron / SR 3 / 12h00 / 33,34 km » et le redouté Col Fontbelle (1304 m) puis « Recoubeau-Jansac – Pennes-le-Sec / SR 4 / 14h30 / 16,12 km » et le passage du Col de Pennes (1040 m) pour clore sportivement cette étape. Un dernier contrôle horaire est programmé à Crest (15h40) afin de réguler les équipages avant leur arrivée Champ de Mars à Valence (16h30).

Après un départ de Valence à 08h00, direction les terres Ardéchoises, dimanche 29 janvier, pour la 1ere partie de l’Etape Commune. Au programme de la matinée, une version du Moulinon revue et modifiée « Saint-Sauveur-de-Montagut – Saint-Andéol-de-Vals / SR 5 / 09h00 / 40,69 km », via le Col de Sarasset (825 m). Arrêt buffet ensuite, à Antraigues-sur-Volane devant la célèbre « Remise », pour notamment déguster cette notoire tartelette aux pommes savamment concoctée par toute la famille Jouanny. S’en suivra un autre chrono de légende, « Burzet – Saint-Martial / SR 6 / 11h20 / 30,63 km », via la cascade du Ray-Pic et Lachamp-Raphaël. Comme les années précédentes, la pause de mi-journée s’articule autour de la place du Marché à Saint-Agrève (13h00), où une dégustation de produits locaux et régionaux arrive toujours à point nommé. Un plein d’énergie non négligeable pour les concurrents, avant d’enchainer avec la boucle altiligérienne de « Saint-Bonnet-le-Froid / SR 7 / 13h30 / 27,05 km » qui, depuis le précédente édition, emprunte désormais la route de Liberthe qui a surpris bien des participants. Pour terminer la journée enfin, l’épreuve de « Lamastre – Colombier-le-Jeune / SR 8 / 15h05 / 14,15 km », inédite, via le Col de Saint-Genest (709 m). Comme de coutume désormais, le retour sur Valence (17h10) est précédé, à partir de 16h20, de l’opération séduction« rallystiques » du quai Farconnet à Tournon-sur-Rhône avec de nombreuses animations parfaitement orchestrées par le comité des fêtes tournonais..

Direction le Haut-Diois, le lundi 30 janvier à partir de 08h00 toujours au départ de Valence, pour la 2e partie de l’Etape Commune, avec d’entrée « Valdrôme – La Piarre / SR 9 / 10h10 / 13,78 km » à disputer via la Bâtie-des-Fonds – Source de la Drôme – et le Col de Carabes (1261 m), frontière naturelle avec le département voisin des Hautes-Alpes. Trait d’union parfait pour enchainer la spéciale des Savoyons entre « Furmeyer – Barcillonnette / SR 10 / 11h10 / 14,86 km » avec le Col d’Espréaux (1160 m) à défier. La halte de mi-journée à Laragne-Montéglin (12h10) tombe à pic pour les concurrents. Quelques minutes pour se ressourcer avec quelques douceurs locales avant de se lancer dans « Eygalayes – Verclause / SR 11 / 12h50 / 36,89 km » dont l’ascension des Cols Saint-Jean (1159 m), de Pierre-Vesce (1056 m) et du Reychasset (1052 m) au cœur des Baronnies n’est jamais une mince affaire ! Enfin, pour terminer cette journée, retour vers le massif du Diois avec notamment « Crupies – Saillans / SR 12 / 14h35 / 23,71 km » à parcourir, avec les Cols du Gourdon (953 m) et de la Chaudière (1047 m) comme juges de paix! La dernière halte jour est prévue Place du Champ de Mars à Crest avec un contrôle horaire à partir de 15h40 avant le retour sur Valence (16h30).

Mardi 31 janvier, le départ de Valence est programmé à 07h00, direction la Drôme provençale. Cette 3e et dernière partie de l’Etape Commune débute par « Saint-Nazaire-le-Désert – La Motte-Chalancon / SR 13 / 08h30 / 19,96 km », un monument revisité pour l’occasion avec le Col de Planlara (1037 m) à franchir avant de poursuivre, à exactement la même altitude, avec celui de Chamauche. La suite des explications passe par le chrono de « Montauban-sur-l’Ouvèze – Laborel / SR 14 / 10h05 / 18,91 km » dans sa version classique du Col de Perty (1302 m). Enfin, pour terminer cette longue journée de retour en Principauté, direction « Thorame-Haute – Le Fugeret / SR 15 / 13h05 / 18,43 km » par la route de La Colle Saint Michel. L’ultime contrôle horaire avant l’entrée en parc fermé à Monaco (16h00) est planifié Place Neuve à La Turbie, à partir de 15h30.

Quelques petites heures de repos, avant le départ de l’Etape Finale (21h00), programmée dans la nuit du mardi 31 janvier au mercredi 1er février. Avec au menu de cette dernière nuit les chronos de « Col de Braus – Lantosque / SR 16 / 22h00 / 34,35 km » et de « La-Bollène-Vésubie – Moulinet / SR 17 / 23h10 / 22,33 km ». Arrivée prévue sur le Port Hercule de Monaco aux alentours de 01h10. Enfin, et selon la tradition, la Soirée de Gala et de Remise des Prix se déroulera le mercredi 1er février au soir, dans la Salle des Etoiles du Sporting Monte-Carlo. (Tenue de soirée ou habit sombre exigés).

PHOTOS MICHEL MORILLON.

91e Rallye Automobile Monte-Carlo (16-22 janvier 2023) Monaco au cœur de l’action !

91e Rallye Automobile Monte-Carlo (16-22 janvier 2023) Monaco au cœur de l’action !

L’exceptionnel tend parfois à se reproduire ! Face à l’énorme succès rencontré lors de la précédente édition et comme souhaité par le Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco, le Rallye Automobile Monte-Carlo, manche inaugurale du Championnat du Monde FIA des Rallyes 2023 (WRC), continue – pour cette édition encore – de prendre ses quartiers d’hiver en Principauté. Géographiquement plus compact, mais toujours aussi sélectif, le parcours – modifié de 50% par rapport à celui de l’édition 2022 – est doté de nouveautés comportant toujours de très nombreuses difficultés, avec des épreuves chronométrées très relevées, tracées dans les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence.

Après trois journées consacrées aux reconnaissances, du lundi 16 janvier au mercredi 18 janvier, place à la séance de mise au point. Cette dernière est programmée le jeudi 19 janvier à partir de 09h31. Dédiée aux pilotes de Priorité 1 et interdite au public pour des raisons de sécurité, ce « Shakedown » emprunte la route du Col des Banquettes (744m) en direction de Peille, au départ de la place Saint-Sébastien à Sainte-Agnès, village du littoral le plus haut d’Europe. Une montée de 2,29 km sinueuse à souhait, qui devrait permettre aux équipages de parfaire leurs ultimes ajustements avant le départ officiel donné le soir même, à partir de 18h30, depuis l’écrin somptueux de la Place du Casino à Monte-Carlo. Au programme de cette toute première étape nocturne « du Turini », deux spéciales totalisant 40,93 kilomètres chronométrés, composés notamment de l’inédite version de « La Bollène-Vésubie / Col de Turini » (ES 1 – 15,52 km – 20h18), avec un tout nouveau départ depuis le Camp de Millo, et de la spéciale très rythmée de « La Cabanette / Col de Castillon » (ES 2 – 25,41 km – 21h11) qui, pour la toute première fois de l’histoire du rallye, voit l’enchainement en course des cols de l’Orme (1000m), de l’Ablé (1149m), de Braus (1002m), Saint- Jean (642m) et de Castillon (706m).
Vendredi 20 janvier, cap au Nord du département des Alpes-Maritimes, pour le deuxième jour de course qui totalise 106,18 kilomètres contre le chronomètre. Avec une boucle de trois épreuves spéciales à parcourir deux fois, et une halte intermédiaire pour un regroupement et un changement de pneumatiques à Puget-Théniers, cette journée est un véritable concentré de difficultés ! Avec « Roure / Beuil » (ES 3/6 – 18,33 km – 09h14 / 14h08) à disputer au pied du Parc National du Mercantour, via le col de la Couillole (1678m), puis l’enchaînement de « Puget-Théniers / Saint- Antonin » (ES 4/7 – 20,06 km – 10h22 / 15h16) et de « Briançonnet / Entrevaux » (ES 5/8 – 14,70 km – 11h25 / 16h19) via le Col du Buis (1196m) et le Val-de-Chalvagne, autant dire que cette 2e étape promet d’être animée !

 

Direction les Alpes-de-Haute-Provence pour le troisième jour de course samedi 21 janvier, qui totalise 98,43 kilomètres chronométrés. L’étape débute par la version 2020 de « Malijai / Puimichel » (ES 9/11 – 17,47 km – 09h38 / 14h08), avant de poursuivre avec le juge de paix de « Saint-Geniez / Thoard » (ES 10/12 – 20,79 km – 11h26 / 15h56) via Authon et son redouté Col de Fontbelle. Une boucle à disputer à deux reprises, entrecoupée d’un arrêt « pneumatiques » et d’un regroupement obligatoire à Digne-les-Bains, sur une Place du Général de Gaulle récemment rénovée. Enfin, pour en terminer avec cette nouvelle journée sans assistance, les concurrents ont rendez-vous avec « Ubraye / Entrevaux » (ES 13 – 21,91 km – 17h59), à parcourir de nuit, via, comme la veille et en fin de spéciale, la route de la Clue le long du Ravin-de-Chalvagne.
En conclusion de l’épreuve, dimanche 22 janvier, quatre chronos totalisant 68,98 kilomètres à disputer, toujours sans assistance. Deux épreuves bien connues de l’arrière-pays, au Nord-Est du département des Alpes-Maritimes, à parcourir à deux reprises par tous les équipages encore en course – non limités réglementairement à 50 comme les années précédentes – pour redonner la part belle aux pilotes amateurs. Des concurrents qui vont devoir composer avec la version longue de la traditionnelle « Lucéram / Lantosque » (ES 14/16 – 18,97 km – 08h01 / 10h40) et la reprise de l’épreuve inaugurale « La Bollène-Vésubie / Col de Turini » (ES 15/17 – 15,52 km – 09h08 / 12h18), spéciale qui, lors du second passage, fait office de Power Stage. Retour prévu à Monaco vers 14h30 pour l’arrivée finale, suivie de la traditionnelle Cérémonie de Remise des Prix Place du Casino.
Epreuves, Kilométrages et Horaires donnés à titre indicatif, jusqu’à la publication officielle de l’itinéraire.
Monaco, le 22 juillet 2022

PHOTOS : Michel MORILLON

Première qualification pour les PEUGEOT 9X8

Première qualification pour les PEUGEOT 9X8

En Italie, à Monza, dans le temple de la vitesse, le Team Peugeot TotalEnergies a rejoint le paddock du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA (WEC), à l’occasion de la quatrième manche, les 6 Heures de Monza. Avec ses deux Hypercars Hybrides, les PEUGEOT 9X8 #93 et PEUGEOT 9X8 #94, la toute nouvelle équipe de Satory entame officiellement son programme de compétition, respectant ainsi parfaitement son plan de marche. Prise de contact avec ce circuit si particulier, prise de contact avec les concurrents, prise de contact avec l’organisation, le programme est intense. Aujourd’hui, les essais libres puis les qualifications, ont permis de se jauger face à la concurrence. Cette première confrontation en piste était attendue par toutes et tous, avec impatience, émotion même parfois.

LES QUALIFICATIONS ET ESSAIS LIBRES EN CHIFFRES

1066 kilomètres au total parcourus à Monza, par les 2 voitures, avant les qualifications les résultats de la qualification : Gustavo Menezes 1’37’’253, 5e chrono ; Mikkel Jensen, pas de chrono (drapeau rouge) relais maximum : 18 tours (en FP2 pour la #93) température de la piste 51 °C, température de l’air 30 °C

RETOUR OFFICIEL EN ENDURANCE

L’Endurance et PEUGEOT ont une histoire commune, riche d’expériences. En Italie, à Monza, l’ouverture de ce nouveau chapitre, avec les ambitieuses PEUGEOT 9X8, constitue un événement attendu autant par l’équipe que par les concurrents et les fans. Le Team Peugeot TotalEnergies a ainsi pris possession des stands qui lui ont été alloués, installant ses premières routines d’équipe de course. Pour célébrer cette première, immortaliser ce retour à la compétition en Endurance, première phase d’une quête audacieuse en 2023, avec un programme complet, une photo d’ensemble de l’équipe avec les deux nouvelles autos a été organisée sur la piste.

PREMIERS KILOMETRES EN MODE COMPETITION

Après 15 000 kilomètres d’essais privés, le Team Peugeot TotalEnergies a bouclé depuis hier, vendredi, 1066 kilomètres en mode compétition, à l’occasion des trois séances d’essais libres, FP1, FP2 puis FP3 des 6 Heures de Monza. Une première qui a permis à l’équipe d’Olivier Jansonnie, directeur technique du Team Peugeot TotalEnergies, de passer en revue les pneumatiques (PEUGEOT 9X8 est chaussée de Michelin de dimension 31/71-18), de tester différents programmes, de prendre globalement ses marques dans ce nouveau contexte.

Jean-Eric Vergne, Mikkel Jensen et Paul Di Resta se sont relayés sur la #93, tandis que Loïc Duval, James Rossiter et Gustavo Menezes se partageaient le volant de la #94. A chaque séance, les chronos s’amélioraient, les deux PEUGEOT 9X8 grimpant dans la hiérarchie de la feuille des temps. Les deux PEUGEOT 9X8 se sont ensuite prêtées à l’exercice de la vitesse pure, lors des qualifications, en fin d’après-midi. Gustavo Menezes a signé 1’37’’253 au volant de la #94, soit le 5e chrono de la catégorie Hypercar quand Mikkel Jensen ayant dû effectuer un reset sur la #93, n’a été crédité d’aucun chrono suite à un arrêt de la séance sur drapeau rouge. La pole position a été réalisée par Glickenhaus Racing (R. Dumas), avec 1’35’’416. Après cette première étape, rendez-vous demain, dimanche, midi, pour 6 heures de compétition ! A noter, la parade en piste, à 11h45 de la toute nouvelle Peugeot 408.

Les têtes d’affiche de la vente Artcurial Motorcars du Mans Classic !

Les têtes d’affiche de la vente Artcurial Motorcars du Mans Classic !

Célèbre rendez-vous des amateurs d’Automobiles, Le Mans Classic est aujourd’hui devenu le lieu des passionnés et collectionneurs de belles anciennes. Pour cette édition 2022, Artcurial Motorcars présentera, sous le marteau de Maître Poulain ses 189 Automobiles, motos et objets Automobilia. Rendez-vous, le samedi 2 juillet à partir de 11h30 sur le Circuit Bugatti au Mans !

Quelques chiffres pour illustrer cette édition 2022 : 137 automobiles de collection, compétition, sportives, Grand Tourisme, cabriolets, classiques, youngtimers et curiosités ,19 motos exceptionnelles provenant de deux collections, 33 lots automobilia, dont deux casques : l’un porté par Alain Prost en 1989 ; le second, en vente caritative, porte les signatures des vainqueurs du Tour Auto, Collection Pierre Héron : 24 voitures françaises « sortie de grange », 40 ans sous la poussière, la découverte de l’année !

The Renault Icons : 8 lots remarquables à la provenance exceptionnelle, d’une collaboration exclusive entre Renault et Artcurial Motorcars, 87 lots sans prix de réserve, 31 cabriolets pour ce début d’été. « De la Maserati A6 GCS livrée neuve en France jusqu’ à la caravane Airstream, cette édition du Mans Classic 2022 promet un spectacle aussi fort sous le marteau que sur la piste des 24 Heures ! »

Les vedettes de la vente :

-1954 Maserati A6 GCS/53 Fiandri Spyder #2071. Livrée neuve en France, 6e au général et victoire de classe au Tour de France Automobile 1954, histoire limpide et complète, palmarès documenté. Une des plus authentiques A6 GCS en existence. Estimation : 3 250 000 – 3 650 000 €
-1983 Renault RE40 #03, pilotée pour la saison 1983 par Alain Prost, quadruple Champion du monde de F1. Estimation : 800 000 – 1 200 000 €

-1958 Mercedes Benz 300 SL Roadster. Vendue neuve en Allemagne Matching numbers. Estimation : 950 000 – 1 150 000 €
– 1986 Toyota Tom’s 86C Groupe C. La seule Toyota Tom’s 86C d’usine restante. Véritable Groupe C avec historique connu. Estimation : 500 000 – 700 000 € Sans prix de réserve
– 1937 Frazer Nash BMW 328 Roadster. Provenance et historique prestigieux – ex-Earl Howe.
Restauration de haut niveau par BMW Classic. Eligible aux plus belles compétitions historiques mondiales. Estimation : 500 000 – 700 000 €

– The Renault Icons , Il y a quelques semaines, Renault, marque historique de la mobilité & Artcurial Motorcars, annonçaient le début d’une collaboration exclusive.
La vente du Mans Classic marque ainsi la première étape de ce partenariat avec 8 véhicules emblématiques proposés lors de la section The Renault Icons.

1983 Renault RE40 Formule 1 pilotée par Alain Prost .Estimation : 800 000 – 1 200 000 €

1986 Tyrrell 015 Formule 1 pilotée par Philippe Streiff . Estimation : 150 000 – 250 000 €

1991 Renault Clio 16S Groupe A ex-Carlos Tavares . Estimation : 60 000 – 100 000 € Sans prix de réserve

1999 Renault-Williams Laguna BTCC . Estimation : 40 000 – 80 000 € Sans prix de réserve

1993 Williams-Renault FW15 Formule 1 Show car . Estimation : 40 000 – 80 000 € Sans prix de réserve

1997 Benetton B197 Formule 1 Show car . Estimation : 40 000 – 80 000 € Sans prix de réserve

1970 Formule Renault ELF Gordini pour enfants . Estimation : 10 000 – 20 000 € Sans prix de réserve

1985-1986 Moteur Renault Elf V6 Turbo EF15 . Estimation : 60 000 – 100 000 € Sans prix de réserve

– Les 24 voitures françaises sorties de grange de Pierre Héron ! Depuis 60 ans, Pierre Héron, ingénieur, admirait les Delahaye, Grégoire et Talbot. Après les avoir utilisées, elles seront toutes remisées pendant 40 ans ; Artcurial Motorcars les a sorties de leur sommeil.

– Cheveux au vent ! Provenant d’un amateur de Monaco, deux grandes classiques prestigieuses dans leur version décapotable seront présentées. Incontournables et rares sur le marché, provenant de la même collection monégasque : une Mercedes Benz 280 SE 3,5L cabriolet de 1970 estimée 260 000-320 000€ et équipée de multiples options recherchées telles que la climatisation, les quatre vitres électriques et une des 26 Bentley S3 Continental Cabriolet Mulliner Park Ward en conduite à gauche de 1963 estimée 260 000 – 320 000 €. Bien entendu, on retrouvera les grandes décapotables classiques comme les Jaguar Type E cabriolet en 3,8L et 4,2L, les Porsche 911 Targa ou, plus radical, une Barquette Hommel.

l’E-Prix de Marrakech « il va faire chaud »

l’E-Prix de Marrakech « il va faire chaud »

Nissan e.dams va se rendre à Marrakech le prochain week-end afin de disputer la 10e manche du Championnat du monde de Formule E. L’équipe est préparée à composer avec ces températures extrêmes du Maroc. Par le passé, les deux pilotes Sébastien Buemi et Maximilian Günther ont déjà réalisé de belles performances en Formule E au Maroc. Sébastien Buemi a en effet remporté le premier E-Prix de Marrakech en 2016 et a terminé deuxième en 2018, tandis que Maximilian Günther était sur le podium en 2020, la dernière fois que la Formule E s’est rendue sur les 2,99 kilomètres du Circuit International Automobile Moulay El Hassan.

Le Maroc en été : éprouvant pour la Formule E

Il va falloir composer avec le climat, chaud en cette période d’été au Maroc. Ce sont des conditions jamais connues lors des précédents E-Prix de Marrakech. Cette étape était programmée en hiver (cette année, la course marocaine a été rajoutée tardivement au calendrier après l’annulation du E-Prix de Vancouver). On parle d’une température de près de 40 °C ce week-end, ce qui constituera une difficulté supplémentaire pour les pilotes et les mécaniciens.

Les horaires de départ de la course furent légèrement modifiés. La course débutera à 17h00, heure locale.