25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique : un éternel recommencement !!!

25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique : un éternel recommencement !!!

Le Comité d’Organisation de cette 25e édition du Rallye Monte-Carlo Historique s’est attaché à rétablir cinq authentiques parcours de concentration, depuis Bad Hombourg, Oslo, Londres, Turin et Reims. Cinq itinéraires… pour une destination commune : Monte-Carlo. L’itinéraire concocté pour le rallye est lui toujours

composé d’épreuves de renom, toutes généralement empruntées par son ainé du Championnat du Monde WRC. Et nombreux seront encore les concurrents, sur ces routes mythiques comprenant 16 Spéciales de Régularité (SR), à vouloir se bagarrer pour décrocher un trophée détenu par Philippe et Antoine CORNET DE WAYS

RUART, vainqueurs en 2022 sur Porsche 911 de 1965.

La première spéciale de régularité de la journée, dans la Drôme, entre Saint-Nazaire-le-Désert et La-Motte-Chalancon (SR12, 19,97 km) était assez sinueuse, dans une version inédite par rapport à la spéciale habituelle du Rallye Monte-Carlo Historique. C’était donc une bonne mise en appétit, surtout pour Pascal Perroud et Guillaume Allais qui s’étaient déjà imposés dimanche après-midi dans la SR10, à bord de leur Porsche 911 Turbo de 1969. Ils ont eu l’honneur et le privilège de devancer les vainqueurs de l’an dernier, les Belges Philippe et Antoine

Cornet de Ways

Ruart, dans une autre Porsche à peine plus âgée (1965). Ceux-ci ont fini la SR12 à égalité avec les leaders du classement général lundi soir, le duo suisse Claudio Enz-Cristina Seeberger (Lancia Fulvia Coupé 1.3S), et avec la Fiat 128 Coupé de Yannick Villar et Vincent Bourdil. Dans la descente finale, il y avait quelques plaques de verglas et de la neige, alors certains avaient décidé de partir avec des pneus à clous, notamment Bruno Saby (Ford Capri), vainqueur 1988 en WRC et 4e du classement général en partant ce matin de Valence.

Le résultat de la SR13 entre Montauban-sur-l’Ouvèze et Laborel, une spéciale longue de 18,92 km dans un joli paysage, en montant et en descendant le fameux Col de Perty (un peu de neige dans la descente), n’a pas chamboulé le classement général du 25e Rallye Monte-Carlo Historique. les vainqueurs espagnols, l’équipage

d

e la BMW 323i de 1981 engagée par Luis Climent Asensio et Victor Buades Castillo,  ont notamment été plus efficaces, dans cette SR13, que les Français Etienne Goldet et Frédéric Neymon, dans une Alpine A310 V6 de 1977, et que deux équipages norvégiens embarqués dans une Lancia Fulvia HF et une Porsche 911 SC.

La dernière nuit du 25e Rallye Monte-Carlo Historique a débuté par un monument, la SR15 entre le Col de Braus et Lantosque (34,35 km). Il y avait bien quelques traces de verglas, dans le Col de Castillon, mais pas assez pour gêner vraiment les 227 équipages rescapés de cette édition 2023 formidable à tous points de vue. Une Lancia Fulvia visait la victoire au classement général, mais c’est un autre modèle de la marque mythique qui s’est mis en valeur dans cette SR15, la Beta Coupé 1800, de 1975, engagée par les Italiens Maurizio Aiolfi et Carlo Merenda. Elle a fait mieux que la BMW 323i des Espagnols Luis Climent Asensio et Victor Buades Castillo, encore une fois aux avant-postes, avec à la 3e place les Tchèques Jan Schmied et Pavel Kacerovsky, embarqués dans une Skoda 130 RS de 1976.

L

a dernière épreuve spéciale de régularité (SR16, 22,33 km), comme un dessert, comme une récompense après une semaine d’efforts et de vigilance au volant, a permis aux concurrents du 25e Rallye Monte-Carlo Historique de toucher le Graal des rallymen du monde entier, de rouler pour le plaisir dans ce fameux Col de Turini qui déchaîne les passions depuis si longtemps. Il faisait froid, mais encore une fois les commissaires de l’Automobile Club de Monaco étaient là, fidèles au poste, pour veiller à la sécurité des concurrents jusqu’à tard dans la nuit.

Sur les deux Ford classées dans le Top 15, sur plus de 270 engagés et 232 arrivés, il y a la Ford Capri 2300 S que Bruno Saby a pilotée pendant une semaine entière. Vainqueur en 1988 dans une Lancia Delta HF, le très populaire Bruno, pas avare d’anecdotes, a été accueilli en héros partout où ce rallye s’est arrêté, et c’était mérité. Il a aussi terminé 4e du classement général. Un autre ancien vainqueur, Jean-Claude Andruet, a lui aussi ravivé les souvenirs des nostalgiques au volant d’une superbe Berlinette Alpine-Renault, la même ou presque que celle qu’il avait emmené à la victoire en 1973, il y a tout juste cinquante ans.

C’est la Lancia Fulvia N.242 des Suisses Claudio Enz et Cristina Seeberger qui a rejoint le port de Monaco pour pointer au dernier contrôle horaire et sceller sa victoire au classement général. Une victoire amplement méritée.

PHOTOS MICHEL MORILLON

34 ème e-TROPHEE ANDROS  A LANS-EN-VERCORS : PREMIERE VICTOIRE POUR EHRLACHER, AURELIEN PANIS CHAMPION !!

34 ème e-TROPHEE ANDROS A LANS-EN-VERCORS : PREMIERE VICTOIRE POUR EHRLACHER, AURELIEN PANIS CHAMPION !!

EPAPE 4/5 COURSE 8 :

CATEGORIE ELITE PRO

De retour sur le circuit de Lans-en-Vercors à l’occasion de la 350ème course du e-Trophée Andros depuis sa création, les pilotes nous ont, à nouveau, offert un incroyable spectacle. Conditions idéales : le circuit a revêtu son manteau de neige quelques jours avant l’arrivée des concurrents et les températures négatives ont permis une piste bien glacée.

Somptueux, malgré 60 kgs de lest emportés après la victoire à Isola 2000, Dorian Boccolacci (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) n’a laissé aucune chance à ses adversaires lors des manches qualificatives. La concurrence était pourtant bien présente avec Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing), Nathanael Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing) et Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing) avec des écarts de quelques dixièmes seulement.

Départ musclé lors de la finale du jour, Aurélien Panis prend la tête sur Dorian Boccolacci. Suivi de Nathanael Berthon et Yann Ehrlacher, il décroche la victoire avec le record du tour en prime. 

A l’issue des manches qualificatives et de la finale, c’est Aurélien Panis qui remporte la course du jour, 4ème victoire de la saison. Dorian Boccolacci prend la 2ème place et Nathanael Berthon monte sur la 3ème marche du podium. 

CATEGORIE ELITE

Sylvain Pussier, un retour en force !

 

Encore une fois, les pilotes de la catégorie Elite nous prouvent que le niveau est plus que relevé. Pour cette première course sur le circuit de Lans-en-Vercors, les manches qualificatives reviennent au team Sylvain Pussier Compétition.Clémentine Lhoste (#69 – Peugeot e208 Loxam) remporte la 1ère manche qualificative et Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) s’empare de la 2ème. Un peu plus rapide dans ses 3 tours, c’est Sylvain Pussier qui s’élancera en pole de la finale.

En finale, Sylvain prend le large, suivi de sa coéquipière Clémentine Lhoste. La bataille a fait rage au sein du duo de la F1 chez Canal +, Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing) et Julien Febreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing). Sylvain Pussier remporte sa 2ème victoire de la saison. Clémentine Lhoste monte sur la 2ème marche du podium et Margot Laffite vient compléter le podium. Julien Febreau conserve tout de même la tête du classement général avec 2 points d’avance Sylvain Pussier. 

 

Etape 4/5 course 9 :

CATEGORIE ELITE PRO

 

La course a commencé en force avec une bataille incroyable lors des manches qualificatives : la première est pour Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing) et la seconde revient à Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing), vainqueur de la course de la veille. Nathanael Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), constant sur ce tracé très spécifique entre les arbres, est 3ème des 2 manches. Les 6 points de la Super Pole sont attribués à Yann Ehrlacher après un tour chrono fantastique. 

Le cumul des points à l’issue des manches qualificatives et de la Super Pole est favorable au local de l’étape, Aurélien Panis, qui s’élance en pole de la finale. Dès l’extinction des feux de départ, Aurélien Panis a fermé la porte à ses adversaires mais quelques secondes plus tard, Yann Ehrlacher réalise un magnifique dépassement sur Aurélien et prend le large en empochant, au passage, le record du tour (+1 point). Nathanael Berthon en 3ème position, a dû résister aux attaques incessantes de JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Yann Ehrlacher remporte la course devant Aurélien Panis et Nathanael Berthon.

Aurélien Panis, grâce à cette 2ème place, assure sa première place au classement général et est donc titré vainqueur du e-Trophée Andros 2023, à domicile. 

CATEGORIE ELITE

Le doublé de Sylvain Pussier ! Confiant sur ce circuit de Lans-en-Vercors depuis sa victoire de la veille, Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) remporte les manches qualificatives face à un Julien Febreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing) déchaîné. Edgar Maloigne (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) gagne une place par rapport à la course précédente et est 3ème à l’issue des manches qualificatives.

 

Départ fabuleux pour Sylvain Pussier en finale, il prend le large suivi de très près par Julien Febreau. Malchanceux, Edgar Maloigne (#4 – Renault Zoé – DA Racing) qui partait 3ème de la finale, commet une petite erreur qui fait les affaires d’Emmanuel Moinel.  Sylvain Pussier remporte la victoire, 3ème de la saison, qui lui permet de reprendre la 1ère place du classement général. Julien Febreau et Emmanuel Moinel montent sur les 2ème et 3ème marches du podium. A noter la magnifique performance du vainqueur du Dakar 2023 Mathieu Baumel (#7 – AS01Clim Denfert – DRP) qui s’est classé à la 3ème place de la manche qualificative 1. 

Rendez-vous à Super Besse pour connaitre la suite du classement général.  

PHOTOS MICHEL MORILLON 

2ème ETAPE  e-TROPHEE ANDROS ANDORRE.

2ème ETAPE e-TROPHEE ANDROS ANDORRE.

Les pilotes de l’e-Trophée Andros avaient rendez-vous sur le circuit d’Andorre pour la 2ème manche de la saison, avec une nouveauté en piste : l’apparition du « Tour Joker ». Lors des finales, les pilotes ont dû prendre une fois ce Tour Joker.

COURSE 1

CATEGORIE ELITE PRO

Christophe Ferrier tout schuss.

Ce nouveau tracé a réussi à l’isolien Christophe Ferrier qui, après un week-end mitigé à Val Thorens, a su retrouver des sensations au volant sa Métropole Nice Côte d’Azur #06. Il remporte les manches qualificatives

 

talonné de près par Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing), de retour aux affaires et JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Il s’adjuge la pôle position après la Super Pole, remportée par Yann EhrlacherEn finale, JB Dubourg prend la tête dès le premier virage et remporte ce dernier round suivi de Christophe Ferrier et d’Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing).  A l’issue de la journée, c’est Christophe Ferrie cr qui l’emporte, première victoire de la saison, suivi de JB Dubourg et de Yann Ehrlacher. 

CATEGORIE ELITE

Le retour de la Reine Margot !

Sur un circuit d’Andorre qu’elle affectionne tout particulièrement, la commentatrice de la F1 sur Canal +, Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing) s’est imposée à l’issue des deux manches qualificatives devant Emmanuel Moinel (#4 – Renault Zoé – DA Racing) et Louis Gervoson (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc

Racing). Partie en pôle lors de la Super Finale, elle a dominé malgré les attaques incessantes de ses adversaires. Emmanuel Moinel, 3ème de la course, réalise une petite erreur à la sortie du Tour Joker laissant ainsi Louis Gervoson monter sur la 2ème marche du podium pour sa première course de la saison. Bonne opération tout de même pour Emmanuel Moinel qui vient partager la 1ère place au classement général avec Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), à égalité de points (158pts).

COURSE 2 :

CATEGORIE ELITE PRO

Aurélien Panis marque des points .

Deuxième journée de course sur le circuit d’Andorre dont le tracé a été modifié devenant ainsi beaucoup plus rapide et c’est Aurélien Panis qui remporte une 9ème victoire d’étape.  A piste fantastique, pilotage exceptionnel : Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing) réalise le grand chelem. Il remporte les manches qualificatives devant Yann Ehrlacher (#68 – AS01 Dupessey – Mracing) et Adrien Fourmaux (#7 – AS01 Clim Denfert – DRP) qui fait une magnifique journée pour son 2ème week-end sur glace. Cet ordre reste inchangé

après la Super Pole puisque c’est le grenoblois du team Saintéloc qui décroche la pôle. Lors de la finale, Aurélien réalise un départ parfait et ne laisse aucune chance à ses adversaires. Deux batailles ont lieu derrière, l’une entre Yann Ehrlacher et Adrien Fourmaux et l’autre entre Dorian Boccolacci (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) et Yvan Muller (#10 – Andros Sport – Mracing). Aurélien Panis l’emporte avec, en prime, le point du record du tour. En deuxième position, on retrouve Yann Ehrlacher suivi du rallyman Adrien Fourmaux qui décroche son premier podium. 

CATEGORIE ELITE

Margot Laffite : Miss Andorre 2022 !

Margot Laffite réitère son excellente performance et signe le doublé du week-end en décrochant la victoire de cette 2ème course d’Andorre ! Elle remporte à nouveau les 2 manches qualificatives haut-la-main, mais cette fois, c’est Julien Febreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing) qui la talonne, suivi de Louis Gervoson (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing) pour sa 2ème course. En finale, Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing) et

Julien Febreau réalisent un départ magistral et ce dernier prend le lead dès le premier virage. Victime d’un contact, Louis Gervoson ne finira pas la finale, laissant sa 3ème place à Edgar Maloigne (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing). Margot Laffite est la grande vainqueure de cette journée puisque cette deuxième victoire la propulse en tête du classement général. Julien Febreau monte sur la 2ème marche du podium et c’est Edgar Maloigne qui vient compléter le podium.   

Prochain rendrez-vous les 6 et 7 janvier  2023 sur le circuit d’Isola 2000. 

PHOTOS MICHEL MORILLON

RETOUR A VAL THORENS POUR LE  34ème e-Trophée Andros

RETOUR A VAL THORENS POUR LE 34ème e-Trophée Andros

Rendez-vous sur le mythique circuit “Alain Prost” de Val Thorens qui lance la saison de la 34ème édition du e-Trophée Andros.

Cette 34ème édition promet encore un grand spectacle puisqu’elle rassemble pas moins de 17 titres de champion du monde, 17 titres de vainqueur du e-Trophée Andros et des pilotes venus de tous horizons, à l’instar de Sébastien Loeb (9 x champion du monde), Yvan Muller (4 x champion du monde), Yann Ehrlacher (2 x champion du monde), JB Dubourg (6 x vainqueur du e-Trophée Andros), Aurélien Panis (1 x vainqueur du e-Trophée Andros), Adrien Fourmaux (WRC), Nathanael Berthon (WTCR), Margot Laffite,…

Course 1 : 03 décembre 2022. Dorian Boccolacci au sommet !!! de son art.

CATEGORIE ELITE PRO

Ce samedi signait le retour des « pro » de la glace sur le circuit de Val Thorens et le ton a été donné par Dorian Boccolacci au volant de sa voiture surnommée « Alice » (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) qui remporte les premières qualifications de la 34ème édition du Trophée Andros désormais 100% électrique depuis 4 ans. Après le tirage au sort de l’ordre de passage des 6 pilotes sélectionnés pour la Super Pole, celle-ci fût remportée

 

par JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Mais c’est Dorian Boccolacci qui, au cumul des points, se place sur la 1ère ligne pour la Super Finale suivi de  Nathanaël Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) et du champion sortant JB Dubourg (#1 – Renault Zoé – DA Racing). Ce dernier n’a  pu garder sa place suite à une

sortie de piste en début de course et dans les suivants, on assista à une bataille incessante entre Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing) et Yvan Muller (#10 – Andros Sport – Mracing). In fine Dorian Boccolacci passe haut la main 1er la ligne d’arrivée. On le retrouve sur le podium avec Nathanaël Berthon et JB Dubourg respectivement à la 2ème et 3ème place.

CATEGORIE ELITE

Julien Fébreau au rendez-vous dès le 1er virage !

Belle entrée en matière pour Julien Fébreau (#16 – Renault Zoé – DA Racing) qui profite de la trêve hivernale de la F1 pour enfiler son casque et participer à la 4ème saison du e-Trophée Andros. Le commentateur star de Canal+  remporte les qualifications de la 1ère course et se place en pole position sur la grille de départ  aux côtés d’Eddy Benezet (#7 – AS01 Clim Denfert – DRP) et d’Emmanuel Moinel (#4 – Renault Zoé – DA Racing). Après le

passage de la dameuse pour optimiser la piste, les concurrents se sont lancés dans leur Super Finale et ont offert un magnifique spectacle derrière Julien Fébreau qui n’a eu de cesse de caracoler en tête dès le 1er virage. Il passe impérialement la ligne d’arrivée et monte sur la 1ère marche du podium, Eddy Benezet sur la seconde et Gérald Fontanel (#1 – Renault Zoé – DA Racing) sur la troisième. 

 

Course 2 : 04 décembre 2022. Aurélien Panis, vainqueur, Yvan Muller le retour !!!!

CATEGORIE ELITE PRO

Aurélien Panis (#38 – Audi A1 Isère – Sainteloc Racing), très motivé pour la course au titre, remporte les qualifications devant « la légende » Yvan Muller (#10 – Andros Sport – Mracing), auréolé de 10 titres sur glace, avant de se lancer dans la Super Pole qu’il remporte également. Devant un public venu en masse autour du circuit, le Grenoblois aux couleurs de l’Isère se lance donc en pole position pour la Super Finale, il exécute un bon

départ et n’a de cesse de résister aux attaques d’Yvan Muller (qui signe le record du tour). Il est finalement le grand vainqueur de cette 2ème journée, Yvan Muller monte sur la 2ème marche du podium et Jimmy Clairet

(

#69 – Peugeot e208 Loxam), pour sa 1ère participation en catégorie Elite Pro, termine 3ème.

CATEGORIE ELITE

Retour gagnant de Sylvain Pussier !

Le patron de l’écurie SP Compétition Sylvain Pussier, au volant de sa Peugeot e208 #63, remporte brillamment les deux manches qualificatives de cette 2ème journée. Il se place donc en pole position devant

Edgar Maloigne (#3 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) et Margot Laffite (#9 – Mersen – Sébastien Loeb Racing). Belle performance lors de la Super Finale d’Edgar Maloine qui a réussi à passer en tête sous le drapeau à damiers à l’issue de l’épreuve. Il monte sur la seconde marche du podium de la journée, Margot Laffite sur la troisième et Sylvain Pussier repart avec la coupe du vainqueur.

 

Aurélien Panis quitte Val Thorens en tête du 34ème e-Trophée Andros devant Nathanaël Berthon et le revenant Yvan Muller. Parmi les favoris, le grand perdant du week end est Yann Ehrlacher du team MRACING qui compte déjà 31 points de retard sur Aurélien Panis. Prochain rendez vous au meeting d’Andorre les 16 et 17 décembre 2022.

PHOTOS MICHEL MORILLON

 

PEUGEOT 408, LE NOUVEAU CONCEPT BERLINE FASTBACK

PEUGEOT 408, LE NOUVEAU CONCEPT BERLINE FASTBACK

Tout juste dévoilée au Mondial de l’Automobile (Paris, du 17 au 23 octobre) avec la spectaculairement mise en scène dans « La Sphère », une structure transparente et rotative permettant d’en décrypter les facettes. La PEUGEOT 408 FIRST EDITION avec la motorisation hybride rechargeable 225 ouvre son carnet de commandes dès le 1er Septembre à 300 clients privilégiés. Design, couleur, technologie et équipements, les 300 premières PEUGEOT 408 PLUG- HYBRID 225 FIRST EDITION hybride rechargeable offriront le meilleur à ces premiers acheteurs. Cette nouvelle 408, c’est sur le haut du segment C, une silhouette fastback inédite sur le marché automobile actuel. Cette PEUGEOT d’une nouvelle espèce, offre une posture féline et et une allure dynamique.,

Ce concept novateur de Fastback se caractérise par un traitement particulièrement acéré des surfaces, que l’on remarque notamment, à l’arrière, au niveau de la fin de pavillon, du volet de coffre et à la naissance des ailes, créant des facettes aiguisées destinées à jouer avec la lumière. 

La calandre, qui reprend la couleur de la caisse pour s’intégrer parfaitement dans la face avant, est ponctuée du nouvel emblème de PEUGEOT, frappé d’une tête de Lion. La technologie Matrix LED mise en œuvre pour l’éclairage a permis de dessiner des projecteurs très fins, tout en garantissant une prestation de très haut niveau. La découpe inversée du pare-chocs arrière surprend, tout en conférant au profil une dynamique inédite. La 408 est solidement posée sur de grandes roues de 720 mm de diamètre, et les jantes  de 20 pouces présentent un design géométrique très original. A l’avant, la signature lumineuse à crocs intègre parfaitement la 408 dans la famille PEUGEOT, tout

comme les feux LED à trois griffes à l’arrière. Le coffre à bagages est lui aussi généreux, avec un volume de 536 litres, modulable jusqu’à 1611 litres une fois les dossiers des sièges arrière rabattus. L’arrière du pavillon de toit est une zone particulièrement sensible sur le plan aérodynamique, le flux d’air est optimisé et guidé par deux “oreilles de chat” qui créent un couloir aérodynamique optimal en direction du becquet de volet de coffre. Ces deux appendices tout aussi anguleux qu’efficients sont autant d’éléments distinctifs du style de la nouvelle PEUGEOT 408.

 

L’habitacle intérieur est particulièrement soigné, le PEUGEOT i-Cockpit® fait partie des marqueurs forts de PEUGEOT. Depuis une décennie, il s’enrichit et se modernise à chaque nouvelle génération. Avec la nouvelle PEUGEOT 408, il marque les esprits en termes d’ergonomie, de qualité, de praticité et de technologie avec un nouveau système d’info-divertissement, le PEUGEOT i-Connect®. Situé à hauteur des yeux juste au-dessus du volant, le nouveau combiné digital intègre une dalle numérique 10 pouces. En finition GT, le combiné est disponible en technologie 3D. Entièrement paramétrable et personnalisable, ce combiné numérique possède plusieurs modes d’affichage (Navigation Connectée TomTom, Radio/média, Aides à la conduite, Flux d’énergie…) directement modifiables depuis le commodo.

Le système propose des i-toggles entièrement configurables qui, disposés sous l’écran central comme un livre ouvert, apportent une esthétique et un niveau de technologie unique dans le segment. Chaque i-toggle est une touche de raccourci tactile vers les réglages de climatisation, un contact téléphonique, une station radio, un lancement d’application paramétré au choix de l’utilisateur. La construction de la planche de bord de la nouvelle PEUGEOT 408 repose sur une architecture « high-vent », qui place les aérateurs en position haute, juste en face de la tête des occupants, favorisant ainsi leur confort thermique. La console centrale est quant à elle délibérément ouverte vers le passager. Elle regroupe, sur une arche côté conducteur, toutes les commandes dynamiques de la voiture. Le conducteur peut sélectionner par une simple impulsion les différents modes qu’offre la boîte de vitesses automatique à 8 rapports EAT8. S’ajoute un sélecteur de Mode de conduite, pour sélectionner différents modes (Electric, Eco, Hybrid, Normal et Sport) selon la motorisation. A bord de la nouvelle PEUGEOT 408, un dispositif très complet de systèmes d’aides à la conduite de dernière génération, alimentés par des informations recueillies par 6 caméras et 9 radars, sécurisent et apaisent la conduite, les manœuvres et le voyage. Certains de ces systèmes sont directement issus des segments supérieurs, notamment la surveillance d’angle mort longue portée (75 mètres).

Deux motorisations hybrides rechargeables conforme à la réglementation €6.4 sont proposées sur la nouvelle PEUGEOT 408, une version PLUG-IN HYBRID 225 e-EAT8 2 roues motrices, association d’un moteur PureTech de 180 ch (132 kW) et d’un moteur électrique de 81 kW accolé à la boîte de vitesse automatique à 8 rapports e-EAT8,  et une version PLUG-IN HYBRID 180 e-EAT8 2 roues motrices, association d’un moteur PureTech de 150 ch (110kW) et d’un moteur électrique de 81 kW accolé à la boîte de vitesse automatique à 8 rapports e-EAT8 . La

batterie Li-ion des deux versions hybrides rechargeables est d’une capacité de 12,4 kWh et d’une puissance de 102 kW. Deux types de chargeurs embarqués sont disponibles de série, un chargeur monophasé de 3,7 kW et en option, un chargeur monophasé de 7,4 kW. Une motorisation thermique est aussi disponible, le moteur essence 3 cylindres de 1,2 litre de cylindrée PureTech de 130 ch conforme à la dernière réglementation de dépollution €6.4 est associé à la boîte automatique à 8 rapports EAT8 et à un système Start & Stop, cette motorisation est en cours d’homologation. A noter que toutes les motorisations de la nouvelle PEUGEOT 408 sont équipés de la boîte de vitesses automatique à 8 rapports, gage de sérénité et d’efficience.

Nous avons pu essayer dans la région de Barcelone la version  haut de gamme de la 408, la version PLUG-IN HYBRID 225 e-EAT8. L’installation à bord est spacieuse, même si pour certaines positions de conduite, le i- iCockpit® ne donne pas une visibilité parfaite. On a un bon maintien dans des sièges cuir d’un confort irréprochable. Les premiers tours de roue se font en électrique, on peut même forcer ce mode, une foi la batterie trop faible, on passe en mode hybride avec une possibilité de récupération d’énergie en enclenchant le mode B sur la console centrale. Nous avons réalisé 45 kilomètres en mode électrique avant de basculer sur le mode hybride. Sur autoroute l’ambiance à bord et feutrée, on entend à peine le moteur thermique se mettre en route quand c’est nécessaire. Sur un parcours plus sinueux, le comportement de la 408 est remarquable, le châssis joue parfaitement son rôle, le train avant est précis, le freinage efficace et le confort est à la hauteur d’une grande berline. C’est un véhicule agréable à piloter, très homogène même quand on pousse la 408 dans ses retranchements.

Les tarifs démarrent à 37350€ pour le modèle thermique PureTech 130 S&S EAT8 finition Allure à 51400€ pour la version PLUG-IN HYBRID 225 e-EAT8 finition GT que nous avons essayée.

Le constructeur Peugeot invente un nouveau concept de berline Fastbak,  ce segment devrait reprendre des couleurs avec des modèles aussi attractifs que cette nouvelle 408 qui tient ces promesses en termes d’homogénéité, de confort et propose un équipement au top de la technologie.

Michel MORILLON

EPOQU’AUTO 2022, UNE NOUVELLE DIMENSION ….

EPOQU’AUTO 2022, UNE NOUVELLE DIMENSION ….

Les Français aiment leurs anciennes, après un Mondial plutôt morose, seul les constructeurs Français étaient présents, la 43ème édition du salon époqu’auto a connu un énorme succès. Avec une fréquentation en progression de + 3% sur les trois jours, c’est plus de 85 000 visiteurs qui se sont rendus à cet évènement, désormais incontournable. Bien sûr c’est  un salon de passionnés de voitures et motos de collection qui viennent chercher la pièce rare pour leur véhicule, mais le  Club des 3A, l’ organisateur a enrichi l’évènement avec  des expositions de qualité qui ont attiré le grand public.

Avec 82 000 m2 de surface d’exposition, les visiteurs ont pu découvrir plus de 1 500 véhicules et 850 exposants répartis comme suit : 510 marchands, 70 dans le village des artisans, une trentaine dans celui des artistes, 80 marchands, 30 vendeurs de pièces motos, 182 clubs autos, 18 clubs motos et 19 institutions et musées et enfin 50 plateaux marques.

Cette 43ème édition a proposé deux plateaux de marques exceptionnels. Un espace dédié au constructeur Ford et son créateur, Henri Ford qui en 1908, fût le premier à industrialiser un modèle, le fameuse Ford T qui se vendra à 15 millions d’exemplaires. Le plateau d’une richesse exceptionnelle propose de multiples entrées,  Ford France, Ford Angleterre, Ford Allemagne et Ford Europe. L’autre plateau de prestige accueille une autre marque qui a écrit la légende de l’automobile de l’autre côté des Alpes. Il s’agit de Lancia. Créée en 1906 la marque a  

raversé le temps et s’est illustrée par sa créativité en terme de design et par l’emprise sur les compétitions automobiles tant en circuits qu’en rallyes de 1974 à 1992. Le plateau propose des modèle rares et notamment le dernier coup d’éclat de la famille Lancia , la Lancia Aurélia B20 de 1958.

Les organisateurs ont aussi pensé au sport automobile et ont proposé un magnifique ensemble de voitures de Rallye des années Groupe B, une époque de démesure. De l’Alpine-A110 Gr 5 (1971) de Jean-Claude Andruet, vainqueur du Rallye Monté-Carlo en passant par les monstrueuses Renault 5 Turbo, Peugeot 205 Turbo 16 EVO 2,

Lancia 037 (1983) ou  Porsche 911 RSR . A noter la très belle exposition de Lancia de compétition à l’entrée du salon, mise à disposition par un Collectionneur passionné. On a pu admirer La Lancia LC2 qui a participé aux

24 Heures du Mans ou la  monstrueuse Delta S4 groupe B usine. Une preuve de plus que les organisateurs ont su innover pour attirer le grand public. A noter sur le stand Elf, l’exposition d’un véhicule d’exception, la Tyrrell P34, concept d’une Formule 1 à 6 roues. Cette monoplace  révolutionnaire gagna  un seul Grand Prix en Espace en 1976, aux mains de Jody Scheckter.

 

Le salon époqu’auto attire aussi les   clubs qui ont un rôle essentiel pour la conservation de ces véhicules  

d’époque.2022 est  une année à anniversaires avec les 120 ans de Cadillac, les 50 ans de la petite Peugeot 104, les 60 ans de la Caravelle, le magnifique cabriolet de Renault et bien sur les 50 ans de la Renault 5

célébrer comme il se doit dans le village Renault par l’exposition d’une grande partie de la gamme R5 du premier modèle de couleur orange à la puissante R5 Turbo Maxi groupe B. 

Le plateau moto s’étend cette année sur 2500 m2 et on a pu découvrir la première exposition  consacrée aux scooters français des années 50,60 et 70.

Ce 43ème salon époqu’auto s’est terminé comme chaque année par la traditionnelle vente aux enchères. Depuis 10 ans, la maison Osenat anime cette vente, un anniversaire marqué par la première vente dédiée aux motos : sur 45 motos mises aux enchères, 80 % ont trouvé acquéreurs. Une Pernod été adjugée à 61 200€ et une Fior à 34 2

00€. Coté auto, la vente traditionnelle a encore rassemblé un grand nombre de passionnés autour des 60 véhicules présentés. Parmi les ventes remarquées : une Citroën DS Cabriolet Chapron La Croisette adjugée à 180 000 €, une Lamborghini Espada 400GT 1977 adjugée à 94 200 € et une rare Maserati Indy 4900 de 1973 qui a trouvé acquéreur à 82800€ taxes comprises.

Nous avons assisté à une 43ème édition de haut niveau pour la qualité des véhicules présentées, une organisation parfaite avec de grands espaces de circulation nécessaires pour accueillir la foule de visiteurs. Vivement  2023

Photos Michel MORILLON