91e Rallye Automobile Monte-Carlo (16-22 janvier 2023) Monaco au cœur de l’action !

91e Rallye Automobile Monte-Carlo (16-22 janvier 2023) Monaco au cœur de l’action !

L’exceptionnel tend parfois à se reproduire ! Face à l’énorme succès rencontré lors de la précédente édition et comme souhaité par le Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco, le Rallye Automobile Monte-Carlo, manche inaugurale du Championnat du Monde FIA des Rallyes 2023 (WRC), continue – pour cette édition encore – de prendre ses quartiers d’hiver en Principauté. Géographiquement plus compact, mais toujours aussi sélectif, le parcours – modifié de 50% par rapport à celui de l’édition 2022 – est doté de nouveautés comportant toujours de très nombreuses difficultés, avec des épreuves chronométrées très relevées, tracées dans les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence.

Après trois journées consacrées aux reconnaissances, du lundi 16 janvier au mercredi 18 janvier, place à la séance de mise au point. Cette dernière est programmée le jeudi 19 janvier à partir de 09h31. Dédiée aux pilotes de Priorité 1 et interdite au public pour des raisons de sécurité, ce « Shakedown » emprunte la route du Col des Banquettes (744m) en direction de Peille, au départ de la place Saint-Sébastien à Sainte-Agnès, village du littoral le plus haut d’Europe. Une montée de 2,29 km sinueuse à souhait, qui devrait permettre aux équipages de parfaire leurs ultimes ajustements avant le départ officiel donné le soir même, à partir de 18h30, depuis l’écrin somptueux de la Place du Casino à Monte-Carlo. Au programme de cette toute première étape nocturne « du Turini », deux spéciales totalisant 40,93 kilomètres chronométrés, composés notamment de l’inédite version de « La Bollène-Vésubie / Col de Turini » (ES 1 – 15,52 km – 20h18), avec un tout nouveau départ depuis le Camp de Millo, et de la spéciale très rythmée de « La Cabanette / Col de Castillon » (ES 2 – 25,41 km – 21h11) qui, pour la toute première fois de l’histoire du rallye, voit l’enchainement en course des cols de l’Orme (1000m), de l’Ablé (1149m), de Braus (1002m), Saint- Jean (642m) et de Castillon (706m).
Vendredi 20 janvier, cap au Nord du département des Alpes-Maritimes, pour le deuxième jour de course qui totalise 106,18 kilomètres contre le chronomètre. Avec une boucle de trois épreuves spéciales à parcourir deux fois, et une halte intermédiaire pour un regroupement et un changement de pneumatiques à Puget-Théniers, cette journée est un véritable concentré de difficultés ! Avec « Roure / Beuil » (ES 3/6 – 18,33 km – 09h14 / 14h08) à disputer au pied du Parc National du Mercantour, via le col de la Couillole (1678m), puis l’enchaînement de « Puget-Théniers / Saint- Antonin » (ES 4/7 – 20,06 km – 10h22 / 15h16) et de « Briançonnet / Entrevaux » (ES 5/8 – 14,70 km – 11h25 / 16h19) via le Col du Buis (1196m) et le Val-de-Chalvagne, autant dire que cette 2e étape promet d’être animée !

 

Direction les Alpes-de-Haute-Provence pour le troisième jour de course samedi 21 janvier, qui totalise 98,43 kilomètres chronométrés. L’étape débute par la version 2020 de « Malijai / Puimichel » (ES 9/11 – 17,47 km – 09h38 / 14h08), avant de poursuivre avec le juge de paix de « Saint-Geniez / Thoard » (ES 10/12 – 20,79 km – 11h26 / 15h56) via Authon et son redouté Col de Fontbelle. Une boucle à disputer à deux reprises, entrecoupée d’un arrêt « pneumatiques » et d’un regroupement obligatoire à Digne-les-Bains, sur une Place du Général de Gaulle récemment rénovée. Enfin, pour en terminer avec cette nouvelle journée sans assistance, les concurrents ont rendez-vous avec « Ubraye / Entrevaux » (ES 13 – 21,91 km – 17h59), à parcourir de nuit, via, comme la veille et en fin de spéciale, la route de la Clue le long du Ravin-de-Chalvagne.
En conclusion de l’épreuve, dimanche 22 janvier, quatre chronos totalisant 68,98 kilomètres à disputer, toujours sans assistance. Deux épreuves bien connues de l’arrière-pays, au Nord-Est du département des Alpes-Maritimes, à parcourir à deux reprises par tous les équipages encore en course – non limités réglementairement à 50 comme les années précédentes – pour redonner la part belle aux pilotes amateurs. Des concurrents qui vont devoir composer avec la version longue de la traditionnelle « Lucéram / Lantosque » (ES 14/16 – 18,97 km – 08h01 / 10h40) et la reprise de l’épreuve inaugurale « La Bollène-Vésubie / Col de Turini » (ES 15/17 – 15,52 km – 09h08 / 12h18), spéciale qui, lors du second passage, fait office de Power Stage. Retour prévu à Monaco vers 14h30 pour l’arrivée finale, suivie de la traditionnelle Cérémonie de Remise des Prix Place du Casino.
Epreuves, Kilométrages et Horaires donnés à titre indicatif, jusqu’à la publication officielle de l’itinéraire.
Monaco, le 22 juillet 2022

PHOTOS : Michel MORILLON

Première qualification pour les PEUGEOT 9X8

Première qualification pour les PEUGEOT 9X8

En Italie, à Monza, dans le temple de la vitesse, le Team Peugeot TotalEnergies a rejoint le paddock du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA (WEC), à l’occasion de la quatrième manche, les 6 Heures de Monza. Avec ses deux Hypercars Hybrides, les PEUGEOT 9X8 #93 et PEUGEOT 9X8 #94, la toute nouvelle équipe de Satory entame officiellement son programme de compétition, respectant ainsi parfaitement son plan de marche. Prise de contact avec ce circuit si particulier, prise de contact avec les concurrents, prise de contact avec l’organisation, le programme est intense. Aujourd’hui, les essais libres puis les qualifications, ont permis de se jauger face à la concurrence. Cette première confrontation en piste était attendue par toutes et tous, avec impatience, émotion même parfois.

LES QUALIFICATIONS ET ESSAIS LIBRES EN CHIFFRES

1066 kilomètres au total parcourus à Monza, par les 2 voitures, avant les qualifications les résultats de la qualification : Gustavo Menezes 1’37’’253, 5e chrono ; Mikkel Jensen, pas de chrono (drapeau rouge) relais maximum : 18 tours (en FP2 pour la #93) température de la piste 51 °C, température de l’air 30 °C

RETOUR OFFICIEL EN ENDURANCE

L’Endurance et PEUGEOT ont une histoire commune, riche d’expériences. En Italie, à Monza, l’ouverture de ce nouveau chapitre, avec les ambitieuses PEUGEOT 9X8, constitue un événement attendu autant par l’équipe que par les concurrents et les fans. Le Team Peugeot TotalEnergies a ainsi pris possession des stands qui lui ont été alloués, installant ses premières routines d’équipe de course. Pour célébrer cette première, immortaliser ce retour à la compétition en Endurance, première phase d’une quête audacieuse en 2023, avec un programme complet, une photo d’ensemble de l’équipe avec les deux nouvelles autos a été organisée sur la piste.

PREMIERS KILOMETRES EN MODE COMPETITION

Après 15 000 kilomètres d’essais privés, le Team Peugeot TotalEnergies a bouclé depuis hier, vendredi, 1066 kilomètres en mode compétition, à l’occasion des trois séances d’essais libres, FP1, FP2 puis FP3 des 6 Heures de Monza. Une première qui a permis à l’équipe d’Olivier Jansonnie, directeur technique du Team Peugeot TotalEnergies, de passer en revue les pneumatiques (PEUGEOT 9X8 est chaussée de Michelin de dimension 31/71-18), de tester différents programmes, de prendre globalement ses marques dans ce nouveau contexte.

Jean-Eric Vergne, Mikkel Jensen et Paul Di Resta se sont relayés sur la #93, tandis que Loïc Duval, James Rossiter et Gustavo Menezes se partageaient le volant de la #94. A chaque séance, les chronos s’amélioraient, les deux PEUGEOT 9X8 grimpant dans la hiérarchie de la feuille des temps. Les deux PEUGEOT 9X8 se sont ensuite prêtées à l’exercice de la vitesse pure, lors des qualifications, en fin d’après-midi. Gustavo Menezes a signé 1’37’’253 au volant de la #94, soit le 5e chrono de la catégorie Hypercar quand Mikkel Jensen ayant dû effectuer un reset sur la #93, n’a été crédité d’aucun chrono suite à un arrêt de la séance sur drapeau rouge. La pole position a été réalisée par Glickenhaus Racing (R. Dumas), avec 1’35’’416. Après cette première étape, rendez-vous demain, dimanche, midi, pour 6 heures de compétition ! A noter, la parade en piste, à 11h45 de la toute nouvelle Peugeot 408.

Le Combi VW roule des mécaniques en Bourgogne du Sud

Le Combi VW roule des mécaniques en Bourgogne du Sud

5ème édition du French VW Bus Meeting 19-20-21 août à Chérizet en Saône-et-Loire. Irrésistibles phares ronds et moteur increvable à l’arrière : le Combi Volkswagen, symbole de tout un art de vivre, fédère des milliers de passionnés autour de ses aptitudes de baroudeur et de sa cool attitude. Plus de 1500 spécimens sont attendus du 19 au 21 août au Domaine des Trois Lacs à Chérizet (la plus petite commune de Saône-et-Loire avec 17 habitants !), où se tient le plus important rassemblement d’Europe de véhicules Combi et Transporter. Le temps d’un grand week-end, c’est une certaine idée de la liberté qui étourdit la Bourgogne du Sud de musique, d’animations conviviales et de joie de vivre façon « flower power » !

Sobrement bicolore, uni ou peinturluré de motifs psychédéliques, il promène sa bouille irrésistible ainsi que les familles et les voyageurs avides de grands espaces aux quatre coins du monde depuis les années 1950 : le Combi est la star incontestée du rassemblement de Chérizet ! Et il n’est pas venu seul : on attend plus de 1500 véhicules, Combi et Transporter, autour du lac où se monte le « Village Combi » dans une ambiance festive et conviviale. Toit relevable et tente déployés, table de camping égayée de quelques boissons pour l’apéro, aménagements intérieurs astucieux et carrosseries brillantes : le Combi fait la preuve de son ingéniosité pour le plus grand plaisir de ses passagers et des curieux venus l’admirer. Dans le cadre privilégié du Domaine des Trois Lacs, au cœur du village bourguignon de Chérizet, une parenthèse bucolique s’ouvre et s’échappe sur les petites routes en couleurs façon « flower power » 

Descendre de Combi, d’accord, mais seulement si c’est pour monter au ciel… en montgolfière ! On admire de haut le splendide site des Trois Lacs et on en profite pour repérer l’emplacement du terrain de cross où se tient l’épreuve la plus spectaculaire du week-end, réservée aux amateurs de sensations fortes. Ici creux et bosses n’effraient pas le Combi dans sa version T3 Syncro : van de tous les extrêmes, il prouve qu’il ne craint aucun terrain d’aventure en venant à bout des ornières boueuses grâce à ses capacités de franchissement qui font pâlir n’importe quel 4×4 moderne… Et pour nettoyer les passages de roues on observe la technique de la Schwimmwagen : un exemplaire de cette exceptionnelle voiture amphibie datant de la Seconde guerre mondiale est présent pour voguer sur les eaux du lac ! Coque étanche et hélice relevable en plus de ses quatre roues : la vieille dame n’a plus grand-chose à voir avec la VW Coccinelle dont elle est issue, ce qui ne l’empêche pas d’assurer le spectacle avec élégance.

L’événement se termine en beauté par la remise des prix distinguant les bus VW les plus chouettes parmi tous ceux qui ont fait le déplacement. Alors, rose ? Vert ? Jaune ? Charme vintage ou beauté contemporaine ? Entre nous, peu importe, pourvu que ça roule !

Automobile enthusiast, une première édition réussie !

Automobile enthusiast, une première édition réussie !

La première édition d’Automobile Enthusiast s’est achevée le 12 juin 2022 dans une ambiance incroyable. Ce sont 40 équipages de vieilles mécaniques provenant de différents pays européens qui se sont retrouvés à Vincy-Manœuvre à 50 km de Paris, au cœur du pays de Meaux, à la ferme de Navarre.

Le public a été projeté dans un week-end immersif mettant en avant le patrimoine : le monde automobile du début du XXe siècle. Le plateau était exceptionnel avec des voitures datant de 1904 à 1945. Plusieurs marques ont été présents à l’instar de Austin, Balsa, BMW, Bugatti, Citroën, Darmont, DKW, Ford, GAR, Gladiator, Indian, Motobécane, Peugeot voire Villard…

Les participants ont roulé sur une route en asphalte fermée sous un magnifique soleil, et ont bien profité de leurs belles anciennes en toute sécurité. Les visiteurs ont pu également assister à une exposition à ciel ouvert de voitures de sport, de motos exceptionnelles mais aussi de quelques véhicules militaires. Cet événement a voulu offrir une expérience unique et conviviale pour les passionnés.

 

M.G

Les têtes d’affiche de la vente Artcurial Motorcars du Mans Classic !

Les têtes d’affiche de la vente Artcurial Motorcars du Mans Classic !

Célèbre rendez-vous des amateurs d’Automobiles, Le Mans Classic est aujourd’hui devenu le lieu des passionnés et collectionneurs de belles anciennes. Pour cette édition 2022, Artcurial Motorcars présentera, sous le marteau de Maître Poulain ses 189 Automobiles, motos et objets Automobilia. Rendez-vous, le samedi 2 juillet à partir de 11h30 sur le Circuit Bugatti au Mans !

Quelques chiffres pour illustrer cette édition 2022 : 137 automobiles de collection, compétition, sportives, Grand Tourisme, cabriolets, classiques, youngtimers et curiosités ,19 motos exceptionnelles provenant de deux collections, 33 lots automobilia, dont deux casques : l’un porté par Alain Prost en 1989 ; le second, en vente caritative, porte les signatures des vainqueurs du Tour Auto, Collection Pierre Héron : 24 voitures françaises « sortie de grange », 40 ans sous la poussière, la découverte de l’année !

The Renault Icons : 8 lots remarquables à la provenance exceptionnelle, d’une collaboration exclusive entre Renault et Artcurial Motorcars, 87 lots sans prix de réserve, 31 cabriolets pour ce début d’été. « De la Maserati A6 GCS livrée neuve en France jusqu’ à la caravane Airstream, cette édition du Mans Classic 2022 promet un spectacle aussi fort sous le marteau que sur la piste des 24 Heures ! »

Les vedettes de la vente :

-1954 Maserati A6 GCS/53 Fiandri Spyder #2071. Livrée neuve en France, 6e au général et victoire de classe au Tour de France Automobile 1954, histoire limpide et complète, palmarès documenté. Une des plus authentiques A6 GCS en existence. Estimation : 3 250 000 – 3 650 000 €
-1983 Renault RE40 #03, pilotée pour la saison 1983 par Alain Prost, quadruple Champion du monde de F1. Estimation : 800 000 – 1 200 000 €

-1958 Mercedes Benz 300 SL Roadster. Vendue neuve en Allemagne Matching numbers. Estimation : 950 000 – 1 150 000 €
– 1986 Toyota Tom’s 86C Groupe C. La seule Toyota Tom’s 86C d’usine restante. Véritable Groupe C avec historique connu. Estimation : 500 000 – 700 000 € Sans prix de réserve
– 1937 Frazer Nash BMW 328 Roadster. Provenance et historique prestigieux – ex-Earl Howe.
Restauration de haut niveau par BMW Classic. Eligible aux plus belles compétitions historiques mondiales. Estimation : 500 000 – 700 000 €

– The Renault Icons , Il y a quelques semaines, Renault, marque historique de la mobilité & Artcurial Motorcars, annonçaient le début d’une collaboration exclusive.
La vente du Mans Classic marque ainsi la première étape de ce partenariat avec 8 véhicules emblématiques proposés lors de la section The Renault Icons.

1983 Renault RE40 Formule 1 pilotée par Alain Prost .Estimation : 800 000 – 1 200 000 €

1986 Tyrrell 015 Formule 1 pilotée par Philippe Streiff . Estimation : 150 000 – 250 000 €

1991 Renault Clio 16S Groupe A ex-Carlos Tavares . Estimation : 60 000 – 100 000 € Sans prix de réserve

1999 Renault-Williams Laguna BTCC . Estimation : 40 000 – 80 000 € Sans prix de réserve

1993 Williams-Renault FW15 Formule 1 Show car . Estimation : 40 000 – 80 000 € Sans prix de réserve

1997 Benetton B197 Formule 1 Show car . Estimation : 40 000 – 80 000 € Sans prix de réserve

1970 Formule Renault ELF Gordini pour enfants . Estimation : 10 000 – 20 000 € Sans prix de réserve

1985-1986 Moteur Renault Elf V6 Turbo EF15 . Estimation : 60 000 – 100 000 € Sans prix de réserve

– Les 24 voitures françaises sorties de grange de Pierre Héron ! Depuis 60 ans, Pierre Héron, ingénieur, admirait les Delahaye, Grégoire et Talbot. Après les avoir utilisées, elles seront toutes remisées pendant 40 ans ; Artcurial Motorcars les a sorties de leur sommeil.

– Cheveux au vent ! Provenant d’un amateur de Monaco, deux grandes classiques prestigieuses dans leur version décapotable seront présentées. Incontournables et rares sur le marché, provenant de la même collection monégasque : une Mercedes Benz 280 SE 3,5L cabriolet de 1970 estimée 260 000-320 000€ et équipée de multiples options recherchées telles que la climatisation, les quatre vitres électriques et une des 26 Bentley S3 Continental Cabriolet Mulliner Park Ward en conduite à gauche de 1963 estimée 260 000 – 320 000 €. Bien entendu, on retrouvera les grandes décapotables classiques comme les Jaguar Type E cabriolet en 3,8L et 4,2L, les Porsche 911 Targa ou, plus radical, une Barquette Hommel.

RETROMOBILE LÈVE LE VOILE SUR L’ÉDITION 2023

RETROMOBILE LÈVE LE VOILE SUR L’ÉDITION 2023

La 47e édition de Retromobile ouvrira ses portes du 1er au 5 février 2023 à Paris Expo à la Porte de Versailles. Découvrez l’affiche de cette édition aux promesses déjà très sportives.

Le plus ancien et prestigieux salon de l’automobile de collection en Europe se renouvelle et revient en 2023 pour célébrer les plus inattendus et les plus beaux véhicules de l’histoire. C’est une promesse de rencontres et d’échanges que Retromobile propose autour de la passion : artistes, constructeurs, clubs, fédérations, vendeurs de pièces détachées et de miniatures, restaurateurs, marchands d’automobile et tous les services connexes seront au rendez-vous pour le bonheur de tous.

Après l’année du rouge en 2020, celle du vert en 2022, cette année Retromobile se mue en jaune ! Découvrons ensemble les différents éléments qui viennent orner cette affiche.

Magique : c’est le mot qui décrirait parfaitement l’édition à venir, et cette affiche donne déjà le ton avec ce long rideau « doré » qui dévoile ce véhicule d’exception. Pour ceux qui ont l’oeil et l’imagination, on aperçoit la perspective d’un circuit sur lequel la voiture de course est en train de rouler : une première référence qui annonce les spécificités de cette édition. Et parce que Retromobile ouvre les festivités de la semaine internationale de l’automobile ancienne à Paris, vous pouvez visualiser la Tour Eiffel, symbole de la capitale française.

Les plus grands passionnés de voitures de course l’ont deviné, il s’agit de la Porsche 907 usine de 1968 (Châssis n° 907-031 ; Moteur n° 907-022). Pour la toute première fois, Retromobile met en avant cette marque sur son affiche, et pas n’importe laquelle ! Ayant concouru sur les plus grands circuits tels que les 1000km du Nürburgring, les 24h de Daytona ou encore les mythiques 24h du Mans, la Porsche 907 est assurément l’une des préférées de tous les aficionados de la marque. Véritable témoin de l’Histoire automobile, Rétromobile est une déclaration d’amour aux anciennes et aux véhicules roulants en tous genres et tous ces vestiges du passé qui ont façonné notre patrimoine roulant. Répartis sur 3 pavillons ce sont plus de 620 exposants réunis qui exposent chaque année près de 1 000 modèles, pour le plus grand bonheur des visiteurs.

Comme chaque année les passionnés, amateurs ou curieux pourront également participer, ou tout simplement assister, à la vente aux enchères officielle du Salon le 03 février organisée par Artcurial Motorcars.